En pleine sécheresse, 2 000 tonnes de fourrage en feu dans le Tarn
Coup dur pour les agriculteurs du Tarn. Un hangar abritant 2 000 tonnes de fourrage a brûlé dans la nuit de samedi à dimanche à la coopérative agricole de Salvagnac. Une tuile pour une profession déjà cruellement touchée par la sécheresse dans un département agricole.
L'incendie est soit criminel, soit d'origine naturelle, car du foin encore humide peut fermenter et s'enflammer, a relevé le lieutenant Arnaud Ricq, commandant en second de la compagnie de gendarmerie de Gaillac (Tarn). La brigade de gendarmerie de Lisle-sur-Tarn a ouvert une enquête. C'est un automobiliste qui a aperçu les flammes, dimanche à 2 heures du matin.
Des dizaines d'agriculteurs avaient déposé là leur récolte, qui devait servir à alimenter leurs troupeaux. Les pertes sont estimées à plusieurs centaines de milliers d'euros.
Les éleveurs avaient déjà du mal à nourrir leurs animaux
Dimanche à la mi-journée, les flammes continuaient de dévorer ce qu'il restait de foin, de luzerne et de céréales, les pompiers ayant pris le parti de contenir l'incendie en l'empêchant de se propager aux autres bâtiments de la coopérative, plutôt que de l'éteindre.
Le stock de fourrage devrait se consumer jusqu'à ce lundi.
LeParisien.fr
Coup dur pour les agriculteurs du Tarn. Un hangar abritant 2 000 tonnes de fourrage a brûlé dans la nuit de samedi à dimanche à la coopérative agricole de Salvagnac. Une tuile pour une profession déjà cruellement touchée par la sécheresse dans un département agricole.
L'incendie est soit criminel, soit d'origine naturelle, car du foin encore humide peut fermenter et s'enflammer, a relevé le lieutenant Arnaud Ricq, commandant en second de la compagnie de gendarmerie de Gaillac (Tarn). La brigade de gendarmerie de Lisle-sur-Tarn a ouvert une enquête. C'est un automobiliste qui a aperçu les flammes, dimanche à 2 heures du matin.
Des dizaines d'agriculteurs avaient déposé là leur récolte, qui devait servir à alimenter leurs troupeaux. Les pertes sont estimées à plusieurs centaines de milliers d'euros.
Les éleveurs avaient déjà du mal à nourrir leurs animaux
Dimanche à la mi-journée, les flammes continuaient de dévorer ce qu'il restait de foin, de luzerne et de céréales, les pompiers ayant pris le parti de contenir l'incendie en l'empêchant de se propager aux autres bâtiments de la coopérative, plutôt que de l'éteindre.
Le stock de fourrage devrait se consumer jusqu'à ce lundi.
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