par Nez à nez en pleine nuit avec un inconnu dans sa chambre
La Saint-Chinianaise de 66 ans a eu très peur, ce 20 avril 2011. Vers 3 heures du matin, alors qu’elle dort à poing fermé, elle est réveillée en sursaut par un bruit de vitre cassée. Elle sort de sa chambre et se trouve nez à nez avec un homme. Il saisit son portefeuille sur une table de nuit. Alors qu’elle tente d’appeler la police, il arrache les fils du téléphone puis s’enfuit de la maison.
L’individu n’est pas un parfait inconnu. La veille il lui avait demandé de l’héberger. Comme elle avait refusé, il s’était rendu chez les pompiers qui l’avaient abrité.L’affaire avait été renvoyée une première fois pour expertise psychiatrique vue l’étrangeté des propos du prévenu. Il se dit poursuivi par des gens.
Quant au portefeuille : "Je pensais que c’était le mien et que je l’avais perdu lors de ma première visite chez elle ."Son casier porte onze condamnations pour vol, extorsion avec violence, conduites sous l’empire d’un état alcoolique, sans permis, refus d’obtempérer…
Les résultats de l’expertise psychiatriques confirment les présomptions : l’homme souffre de schizophrénie paranoïde avec périodes hallucinatoires.
Le vice-procureur Henri Melchior requiert 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis, avec maintien en détention et obligation de soins pendant deux ans.
"Sa place n’est pas au sein d’un pénitencier, plaide Me Caniez, il vaut mieux une autre voie comme l’hospitalisation d’office. En prison, on n’arrive pas encore à avoir des soins adaptés à certains cas comme le sien." Le tribunal l’a condamné à 18 mois de prison dont 16 mois assortis du sursis pendant deux ans avec obligation de sons, et maintien en détention.
Midilibre.fr
La Saint-Chinianaise de 66 ans a eu très peur, ce 20 avril 2011. Vers 3 heures du matin, alors qu’elle dort à poing fermé, elle est réveillée en sursaut par un bruit de vitre cassée. Elle sort de sa chambre et se trouve nez à nez avec un homme. Il saisit son portefeuille sur une table de nuit. Alors qu’elle tente d’appeler la police, il arrache les fils du téléphone puis s’enfuit de la maison.
L’individu n’est pas un parfait inconnu. La veille il lui avait demandé de l’héberger. Comme elle avait refusé, il s’était rendu chez les pompiers qui l’avaient abrité.L’affaire avait été renvoyée une première fois pour expertise psychiatrique vue l’étrangeté des propos du prévenu. Il se dit poursuivi par des gens.
Quant au portefeuille : "Je pensais que c’était le mien et que je l’avais perdu lors de ma première visite chez elle ."Son casier porte onze condamnations pour vol, extorsion avec violence, conduites sous l’empire d’un état alcoolique, sans permis, refus d’obtempérer…
Les résultats de l’expertise psychiatriques confirment les présomptions : l’homme souffre de schizophrénie paranoïde avec périodes hallucinatoires.
Le vice-procureur Henri Melchior requiert 18 mois de prison dont 9 mois avec sursis, avec maintien en détention et obligation de soins pendant deux ans.
"Sa place n’est pas au sein d’un pénitencier, plaide Me Caniez, il vaut mieux une autre voie comme l’hospitalisation d’office. En prison, on n’arrive pas encore à avoir des soins adaptés à certains cas comme le sien." Le tribunal l’a condamné à 18 mois de prison dont 16 mois assortis du sursis pendant deux ans avec obligation de sons, et maintien en détention.
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