Les gendarmes ont de la réserve dans leurs unités
La réserve opérationnelle prend une place de plus en plus importante au sein de la gendarmerie. Au groupement de la Lozère, 110 réservistes viennent renforcer les unités sur des problématiques ponctuelles et prêter main-forte aux 277 actifs. "On bleuit le terrain pour lutter encore plus efficacement contre la délinquance", explique le capitaine Milonet. Et pas seulement en période estivale puisque les réservistes peuvent aujourd’hui dépasser les 90 jours de service par an. "Ils ont les mêmes missions que nous, les actifs, la même possibilité d’avance et peuvent travailler en totale autonomie, poursuit l’officier. Cela permet de conserver le lien arme - nation et de nous donner de l’oxygène dans nos effectifs, de la souplesse dans la gestion des emplois du temps."
Hier à Saint-Chély, Stéphane Brouzet et Quentin Portal ont renforcé la communauté de brigades du secteur sur des patrouilles pédestres. "Je suis en train de finir un BTS électrotechnique et je voulais voir ce qu’était la gendarmerie car j’aimerais y rentrer après", raconte le Saint-Amanien Quentin Portal, 19 ans, réserviste depuis un an et demi. Même son de cloche pour l’autre adjoint de réserve, Stéphane Brouzet, 21 ans, étudiant aussi en informatique et qui jure que l’appât du gain n’est pour rien dans ce “job” d’appoint. "J’y suis avant tout par conviction et pour vivre des moments uniques comme sur les interventions “secours”", déclare timidement le Mendois. Le salaire justement : il est de 48 € net par jour pour un jeune sans grade, de 60 € pour un ancien de l’arme et un jeune salarié expérimenté et de 152 € pour un colonel de réserve.
Le groupement de la Lozère, ce n’est donc pas uniquement les compagnies de Mende et Florac. Il y a aussi la compagnie de réservistes du lieutenant-colonel Dribault et du major Hours qui assure qu’"une telle unité est aujourd’hui d’une grande importance au sein des effectifs de gendarmerie".
Midilibre
La réserve opérationnelle prend une place de plus en plus importante au sein de la gendarmerie. Au groupement de la Lozère, 110 réservistes viennent renforcer les unités sur des problématiques ponctuelles et prêter main-forte aux 277 actifs. "On bleuit le terrain pour lutter encore plus efficacement contre la délinquance", explique le capitaine Milonet. Et pas seulement en période estivale puisque les réservistes peuvent aujourd’hui dépasser les 90 jours de service par an. "Ils ont les mêmes missions que nous, les actifs, la même possibilité d’avance et peuvent travailler en totale autonomie, poursuit l’officier. Cela permet de conserver le lien arme - nation et de nous donner de l’oxygène dans nos effectifs, de la souplesse dans la gestion des emplois du temps."
Hier à Saint-Chély, Stéphane Brouzet et Quentin Portal ont renforcé la communauté de brigades du secteur sur des patrouilles pédestres. "Je suis en train de finir un BTS électrotechnique et je voulais voir ce qu’était la gendarmerie car j’aimerais y rentrer après", raconte le Saint-Amanien Quentin Portal, 19 ans, réserviste depuis un an et demi. Même son de cloche pour l’autre adjoint de réserve, Stéphane Brouzet, 21 ans, étudiant aussi en informatique et qui jure que l’appât du gain n’est pour rien dans ce “job” d’appoint. "J’y suis avant tout par conviction et pour vivre des moments uniques comme sur les interventions “secours”", déclare timidement le Mendois. Le salaire justement : il est de 48 € net par jour pour un jeune sans grade, de 60 € pour un ancien de l’arme et un jeune salarié expérimenté et de 152 € pour un colonel de réserve.
Le groupement de la Lozère, ce n’est donc pas uniquement les compagnies de Mende et Florac. Il y a aussi la compagnie de réservistes du lieutenant-colonel Dribault et du major Hours qui assure qu’"une telle unité est aujourd’hui d’une grande importance au sein des effectifs de gendarmerie".
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