Sète Le sauvetage périlleux, c’est dans leurs cordes
C’était une première hier matin pour les membres du Grimp (groupe de reconnaissance et d’intervention en milieux périlleux) des casernes de pompiers de Sète, Agde, La Grande Motte et Olonzac. La première fois que ces hommes du feu, spécialisés aussi dans le sauvetage “extrême”, se confrontaient à une grue du port. "Avec le développement de l’activité, on peut être appelés pour évacuer un grutier blessé ou ayant fait un malaise", explique Xavier Courdial, le responsable de la cellule sétoise forte de sept hommes. Le but de l’exercice était donc de descendre une civière, lestée d’un mannequin d’un fort beau gabarit, veillée par un infirmier et accompagnée de deux pompiers chargés d’aider à la manœuvre. Un travail de coordination tout autant que de précision pour ces spécialistes. Pas question en effet de rater une descente en rappel avec un blessé.
Alors après avoir déroulé leurs cordes, assuré leurs points d’appuis, placé quelques poulies, trois hommes du Grimp, assurés par leurs collègues, ont basculé dans le vide pour descendre, lentement, cent mètres plus bas sur le plancher des vaches. Mission réussie. Le prochain exercice devrait avoir lieu sur le nouveau portique du port.
Midilibre
C’était une première hier matin pour les membres du Grimp (groupe de reconnaissance et d’intervention en milieux périlleux) des casernes de pompiers de Sète, Agde, La Grande Motte et Olonzac. La première fois que ces hommes du feu, spécialisés aussi dans le sauvetage “extrême”, se confrontaient à une grue du port. "Avec le développement de l’activité, on peut être appelés pour évacuer un grutier blessé ou ayant fait un malaise", explique Xavier Courdial, le responsable de la cellule sétoise forte de sept hommes. Le but de l’exercice était donc de descendre une civière, lestée d’un mannequin d’un fort beau gabarit, veillée par un infirmier et accompagnée de deux pompiers chargés d’aider à la manœuvre. Un travail de coordination tout autant que de précision pour ces spécialistes. Pas question en effet de rater une descente en rappel avec un blessé.
Alors après avoir déroulé leurs cordes, assuré leurs points d’appuis, placé quelques poulies, trois hommes du Grimp, assurés par leurs collègues, ont basculé dans le vide pour descendre, lentement, cent mètres plus bas sur le plancher des vaches. Mission réussie. Le prochain exercice devrait avoir lieu sur le nouveau portique du port.
Midilibre