par Des gendarmes roulent dans un coupé Mercedes confisqué à un chauffard
Les chauffards du Morbihan auront désormais du mal à échapper aux gendarmes de la brigade d'intervention rapide de Lorient. Et pour cause, ces-derniers roulent depuis peu dans une Mercedes dernier cri (voir photo). Il ne s'agit ni d'un don de la marque à la gendarmerie nationale, ni d'un investissement de l'Etat. Le bolide a en fait été confisqué à un chauffard et affecté à la brigade par le tribunal de grande instance de Lorient.
Cette Mercedes CLS 350, qui peut monter à 250 km/h en 14 secondes et se vend neuve plus de 60 000 euros, a été "confisqué à un automobiliste contrôlé en grand excès de vitesse qui roulait sans permis", a expliqué le préfet du Morbihan, François Savy. La voiture banalisée a été équipée des avertisseurs sonores et lumineux réglementaires, et sera pilotée exclusivement par trois gendarmes formés au pilotage.
La loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (Loppsi), adoptée il y a quelques mois à l'Assemblée nationale, prévoit que les biens saisis puissent être attribués au service de police ou de gendarmerie qui a mené l'enquête.
Leparisien
Les chauffards du Morbihan auront désormais du mal à échapper aux gendarmes de la brigade d'intervention rapide de Lorient. Et pour cause, ces-derniers roulent depuis peu dans une Mercedes dernier cri (voir photo). Il ne s'agit ni d'un don de la marque à la gendarmerie nationale, ni d'un investissement de l'Etat. Le bolide a en fait été confisqué à un chauffard et affecté à la brigade par le tribunal de grande instance de Lorient.
Cette Mercedes CLS 350, qui peut monter à 250 km/h en 14 secondes et se vend neuve plus de 60 000 euros, a été "confisqué à un automobiliste contrôlé en grand excès de vitesse qui roulait sans permis", a expliqué le préfet du Morbihan, François Savy. La voiture banalisée a été équipée des avertisseurs sonores et lumineux réglementaires, et sera pilotée exclusivement par trois gendarmes formés au pilotage.
La loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (Loppsi), adoptée il y a quelques mois à l'Assemblée nationale, prévoit que les biens saisis puissent être attribués au service de police ou de gendarmerie qui a mené l'enquête.
Leparisien
