L'alerte a été donnée jeudi, en début de soirée. Vers 20 heures, les gendarmes de la brigade de Podensac ont été saisis dans le cadre de la disparition inquiétante d'un adolescent de 17 ans. Le jeune homme avait quitté son domicile, dans l'après-midi, à vélo et avec un sac à dos contenant une gourde.
Vers 21 heures, son vélo était découvert dans un bois, à proximité du château d'eau de Landiras.
Les gendarmes décidaient alors de déployer un important dispositif pour ratisser le secteur. Des patrouilles de la compagnie de Langon, l'équipe cynophile du peloton de surveillance et d'intervention (Psig) de Mérignac et l'hélicoptère de la base aérienne quadrillaient le secteur. En vain.
Son portable localisé
Hier matin, les recherches reprenaient toujours sur Landiras. L'adolescent était en possession d'un téléphone portable que les enquêteurs localisaient sur un rayon de quelques centaines de mètres près de l'endroit où a été découvert le vélo.
Hier, peu après 17 heures, le chien des sapeurs-pompiers venait en renfort. Hélas, aux alentours de 19 heures, l'adolescent était découvert pendu.
Les gendarmes poursuivaient leurs investigations mais privilégiaient l'hypothèse d'un suicide.
SUDOUEST
Vers 21 heures, son vélo était découvert dans un bois, à proximité du château d'eau de Landiras.
Les gendarmes décidaient alors de déployer un important dispositif pour ratisser le secteur. Des patrouilles de la compagnie de Langon, l'équipe cynophile du peloton de surveillance et d'intervention (Psig) de Mérignac et l'hélicoptère de la base aérienne quadrillaient le secteur. En vain.
Son portable localisé
Hier matin, les recherches reprenaient toujours sur Landiras. L'adolescent était en possession d'un téléphone portable que les enquêteurs localisaient sur un rayon de quelques centaines de mètres près de l'endroit où a été découvert le vélo.
Hier, peu après 17 heures, le chien des sapeurs-pompiers venait en renfort. Hélas, aux alentours de 19 heures, l'adolescent était découvert pendu.
Les gendarmes poursuivaient leurs investigations mais privilégiaient l'hypothèse d'un suicide.
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