par Incendie mortel dans un immeuble
Une femme âgée de 72 ans a péri, hier en début d’après-midi, dans l’incendie de son appartement situé au 2e niveau d’un immeuble du boulevard Joliot-Curie.
La victime, handicapée, était seule chez elle et se trouvait dans la chambre à coucher. C’est dans cette pièce que s’est vraisemblablement déclenché le feu pour une raison encore indéterminée.
Le mari de la personne décédée, âgé lui de 76 ans, se trouvait à ce moment-là dans la rue. En entendant crier “au feu”, il a tenté de regagner son logement mais a rapidement été bloqué par les fumées qui se dégageaient dans la cage d’escalier.
Les pompiers venus en nombre (24 hommes) de Sète et de Frontignan ont dû affronter des flammes qui sortaient par les fenêtres du logement avant de pouvoir y pénétrer. Il était malheureusement trop tard.
Très choqué, et incommodé par les fumées, le mari de la victime a été pris en charge par les secours et placé sous oxygène. Son fils, résidant à Balaruc, était attendu dans l’après-midi.
Les autres appartements de l’immeuble n’ont été que très peu touchés. Et l’ensemble des résidents ont pu regagner leur logement. "Nous sommes consternés", témoignait une voisine. "Heureusement, il y a énormément de solidarité dans cet immeuble."
Midilibre
Une femme âgée de 72 ans a péri, hier en début d’après-midi, dans l’incendie de son appartement situé au 2e niveau d’un immeuble du boulevard Joliot-Curie.
La victime, handicapée, était seule chez elle et se trouvait dans la chambre à coucher. C’est dans cette pièce que s’est vraisemblablement déclenché le feu pour une raison encore indéterminée.
Le mari de la personne décédée, âgé lui de 76 ans, se trouvait à ce moment-là dans la rue. En entendant crier “au feu”, il a tenté de regagner son logement mais a rapidement été bloqué par les fumées qui se dégageaient dans la cage d’escalier.
Les pompiers venus en nombre (24 hommes) de Sète et de Frontignan ont dû affronter des flammes qui sortaient par les fenêtres du logement avant de pouvoir y pénétrer. Il était malheureusement trop tard.
Très choqué, et incommodé par les fumées, le mari de la victime a été pris en charge par les secours et placé sous oxygène. Son fils, résidant à Balaruc, était attendu dans l’après-midi.
Les autres appartements de l’immeuble n’ont été que très peu touchés. Et l’ensemble des résidents ont pu regagner leur logement. "Nous sommes consternés", témoignait une voisine. "Heureusement, il y a énormément de solidarité dans cet immeuble."
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