Nord : le meurtre d'un artificier maquillé dans l'incendie de son magasin
Un artificier retrouvé mort dans son magasin détruit par le feu le 1er juin à Louvroil (Nord) n'a pas succombé à l'incendie d'origine criminelle : il a été tué avant le sinistre, selon les conclusions de l'autopsie, a révélé ce jeudi La Voix du Nord.
Ni l'avocat, ni la police judiciaire de Lille, saisie, ni le parquet de Valenciennes n'ont toutefois précisé les causes de la mort, excipant de «l'intérêt de l'enquête».
Rebondissement total
Le corps de la victime avait été retrouvé dans le hangar de son magasin de farces et attrapes à Louvroil, près de Maubeuge, après un violent incendie qui n'avait cependant pas atteint les stocks de feux d'artifice. La famille de l'artificier avait immédiatement écarté l'hypothèse d'un suicide ou celle d'un accident. «La poudre, il savait la manipuler et ce n'était pas un homme dépressif», a souligné Me Emmanuel Riglaire, qui représente trois des sept enfants de la victime.
L'autopsie va donc également dans ce sens : elle «ne laisse aucun doute sur l'origine criminelle du décès. L'incendie est également criminel», affirme l'avocat de la famille.
LeParisien.fr
Un artificier retrouvé mort dans son magasin détruit par le feu le 1er juin à Louvroil (Nord) n'a pas succombé à l'incendie d'origine criminelle : il a été tué avant le sinistre, selon les conclusions de l'autopsie, a révélé ce jeudi La Voix du Nord.
Ni l'avocat, ni la police judiciaire de Lille, saisie, ni le parquet de Valenciennes n'ont toutefois précisé les causes de la mort, excipant de «l'intérêt de l'enquête».
Rebondissement total
Le corps de la victime avait été retrouvé dans le hangar de son magasin de farces et attrapes à Louvroil, près de Maubeuge, après un violent incendie qui n'avait cependant pas atteint les stocks de feux d'artifice. La famille de l'artificier avait immédiatement écarté l'hypothèse d'un suicide ou celle d'un accident. «La poudre, il savait la manipuler et ce n'était pas un homme dépressif», a souligné Me Emmanuel Riglaire, qui représente trois des sept enfants de la victime.
L'autopsie va donc également dans ce sens : elle «ne laisse aucun doute sur l'origine criminelle du décès. L'incendie est également criminel», affirme l'avocat de la famille.
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