par Le Tribunal correctionnel de Niort a débouté la SNCF, qui demandait un millions d'euros à une jeune conducteur de Charente-Maritime responsable du déraillement d'un train.
Un millions d'euros. C'est la somme que demandait la SNCF à un jeune conducteur de Charente-Maritime qui avait terminé sa course sur la ligne La Rochelle-Niort, provoquant le déraillement d'un TGV.
Ce mardi, le Tribunal correctionnel de Niort a tranché. C'est non. Il ne remboursera pas les dégâts provoqués et les retards induits, rapporte le Courrier de l'Ouest. En revanche, il a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour conduite d’un véhicule en ayant fait usage de stupéfiants et sous l’empire d’un état alcoolique, et circulation sans assurance.
Il s'était perdu dans la campagne et avait percuté une barrière puis s'était retrouvé sur la voie de chemin de fer. Il avait alors quitté son véhicule, une BMW acheté récemment, juste avant le passage d'un TGV en provenance de La Rochelle. La motrice du train a percuté cette voiture et la rame a déraillé. Aucun des passagers, presque 300, n'avait été blessés.
Source : Sud-Ouest
Un millions d'euros. C'est la somme que demandait la SNCF à un jeune conducteur de Charente-Maritime qui avait terminé sa course sur la ligne La Rochelle-Niort, provoquant le déraillement d'un TGV.
Ce mardi, le Tribunal correctionnel de Niort a tranché. C'est non. Il ne remboursera pas les dégâts provoqués et les retards induits, rapporte le Courrier de l'Ouest. En revanche, il a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour conduite d’un véhicule en ayant fait usage de stupéfiants et sous l’empire d’un état alcoolique, et circulation sans assurance.
Il s'était perdu dans la campagne et avait percuté une barrière puis s'était retrouvé sur la voie de chemin de fer. Il avait alors quitté son véhicule, une BMW acheté récemment, juste avant le passage d'un TGV en provenance de La Rochelle. La motrice du train a percuté cette voiture et la rame a déraillé. Aucun des passagers, presque 300, n'avait été blessés.
Source : Sud-Ouest
