Vendée. Il se rend au GIGN après le meurtre de sa belle-fille
Vers 2 h, dans la nuit de vendredi à samedi, une femme a été tuée à Nieul-le-Dolent, en Vendée. Retranché chez lui, son beau-père s’est livré au GIGN après plusieurs heures de négociation.
Tuée avec une arme à feu devant chez elle
Vers 2 h du matin, dans la nuit de vendredi à samedi, Delphine Bodin, 31 ans, est tuée dans la rue, en face de son domicile, à Nieul-le-Dolent, petite commune située entre Les Sables-d’Olonne et La Roche-sur-Yon (Vendée).
Elle vivait sous le même toit que son beau-père, âgé de 49 ans. C’est lui qui l’aurait abattue avec une arme à feu avant de se retrancher dans l’appartement, et de prévenir par téléphone un membre de sa famille. Ce dernier a alerté les secours.
Le GIGN appelé en renfort par les gendarmes
À 3 h, la rue Clemenceau, située dans le bourg de 2 000 habitants, est bouclée. Les gendarmes entament les négociations, puis demandent le renfort du Groupement d’intervention de la gendarmerie de Versailles (GIGN) qui arrive sur place à midi. Les négociations reprennent pendant deux heures.
L’homme a fini par se rendre, vers 14 h hier. Il a été placé en garde à vue. « Il est trop tôt pour déterminer les circonstances du drame », note Xavier Pavageau, procureur de la République.
Les équipes scientifiques étaient toujours au travail en soirée, samedi. Au petit bistrot qui fait face à l’appartement, on les connaissait un peu. « Ils venaient quelques fois prendre un verre. C’était des gens simples, discrets », affirment les habitués.
Patrick GUYOMARD.
Vers 2 h, dans la nuit de vendredi à samedi, une femme a été tuée à Nieul-le-Dolent, en Vendée. Retranché chez lui, son beau-père s’est livré au GIGN après plusieurs heures de négociation.
Tuée avec une arme à feu devant chez elle
Vers 2 h du matin, dans la nuit de vendredi à samedi, Delphine Bodin, 31 ans, est tuée dans la rue, en face de son domicile, à Nieul-le-Dolent, petite commune située entre Les Sables-d’Olonne et La Roche-sur-Yon (Vendée).
Elle vivait sous le même toit que son beau-père, âgé de 49 ans. C’est lui qui l’aurait abattue avec une arme à feu avant de se retrancher dans l’appartement, et de prévenir par téléphone un membre de sa famille. Ce dernier a alerté les secours.
Le GIGN appelé en renfort par les gendarmes
À 3 h, la rue Clemenceau, située dans le bourg de 2 000 habitants, est bouclée. Les gendarmes entament les négociations, puis demandent le renfort du Groupement d’intervention de la gendarmerie de Versailles (GIGN) qui arrive sur place à midi. Les négociations reprennent pendant deux heures.
L’homme a fini par se rendre, vers 14 h hier. Il a été placé en garde à vue. « Il est trop tôt pour déterminer les circonstances du drame », note Xavier Pavageau, procureur de la République.
Les équipes scientifiques étaient toujours au travail en soirée, samedi. Au petit bistrot qui fait face à l’appartement, on les connaissait un peu. « Ils venaient quelques fois prendre un verre. C’était des gens simples, discrets », affirment les habitués.
Patrick GUYOMARD.