Les élèves de l'École de police dans les rues, à titre expérimental
Une visite ministérielle, c'est bien, quand elle est accompagnée d'une annonce concrète, c'est mieux. Le passage du ministre de l'Intérieur Claude Guéant à l'école de police de Roubaix-Hem, hier après-midi, a cumulé les deux volets et ce, en moins d'une heure de temps.
À l'origine de ce passage éclair, une rencontre entre le ministre et le député-maire d'Hem, Francis Vercamer, au sujet de la meilleure façon de mettre davantage d'effectifs de police sur le terrain. « Pourquoi ne pas autoriser les élèves gardiens de la paix en formation à participer aux patrouilles ? » suggère le député. « C'est une bonne idée » réplique le ministre, et voilà les contraintes administratives et réglementaires qui s'opposaient à cette formule depuis plusieurs années qui s'envolent comme par enchantement.
« Exemplaires »
Concrètement, dans un futur proche, les élèves gardiens de la paix pourront effectuer des patrouilles en compagnie des forces de police durant un jour ou deux par semaine lors de leurs deux derniers mois de formation.
« Il faut que, pendant le temps de leur scolarité, les élèves gardiens de la paix, puissent prêter main forte aux policiers du secteur.
» Rien ne vaut le terrain...
Les futurs policiers vont le découvrir. Pour le reste, la visite de Claude Guéant aura été l'occasion d'assister à une démonstration d'un contrôle routier opéré par des cadets de la République en formation. Et le ministre de l'Intérieur de souligner : « On tient à ce que les fonctionnaires de police connaissent bien leur métier. Ils doivent être exemplaires et le métier de policier n'est pas un métier facile. » Le ministre de l'Intérieur a ensuite pris le temps d'un échange avec des élèves gardiens de la paix, adjoints de sécurité et cadets de la République actuellement en formation à l'école nationale de police de Roubaix-Hem, Claude Guéant a découvert des aspirants policiers motivés.
Et de leur rappeler que « le métier de policier est un métier formidable, pas toujours facile. On y côtoie la misère humaine mais on a aussi la satisfaction constante de rendre service à ses concitoyens. » Avant de partir, le ministre de l'Intérieur a remercié tous les futurs policiers qui s'engagent aujourd'hui pour « l'avenir ». •
La voix du nord
Une visite ministérielle, c'est bien, quand elle est accompagnée d'une annonce concrète, c'est mieux. Le passage du ministre de l'Intérieur Claude Guéant à l'école de police de Roubaix-Hem, hier après-midi, a cumulé les deux volets et ce, en moins d'une heure de temps.
À l'origine de ce passage éclair, une rencontre entre le ministre et le député-maire d'Hem, Francis Vercamer, au sujet de la meilleure façon de mettre davantage d'effectifs de police sur le terrain. « Pourquoi ne pas autoriser les élèves gardiens de la paix en formation à participer aux patrouilles ? » suggère le député. « C'est une bonne idée » réplique le ministre, et voilà les contraintes administratives et réglementaires qui s'opposaient à cette formule depuis plusieurs années qui s'envolent comme par enchantement.
« Exemplaires »
Concrètement, dans un futur proche, les élèves gardiens de la paix pourront effectuer des patrouilles en compagnie des forces de police durant un jour ou deux par semaine lors de leurs deux derniers mois de formation.
« Il faut que, pendant le temps de leur scolarité, les élèves gardiens de la paix, puissent prêter main forte aux policiers du secteur.
» Rien ne vaut le terrain...
Les futurs policiers vont le découvrir. Pour le reste, la visite de Claude Guéant aura été l'occasion d'assister à une démonstration d'un contrôle routier opéré par des cadets de la République en formation. Et le ministre de l'Intérieur de souligner : « On tient à ce que les fonctionnaires de police connaissent bien leur métier. Ils doivent être exemplaires et le métier de policier n'est pas un métier facile. » Le ministre de l'Intérieur a ensuite pris le temps d'un échange avec des élèves gardiens de la paix, adjoints de sécurité et cadets de la République actuellement en formation à l'école nationale de police de Roubaix-Hem, Claude Guéant a découvert des aspirants policiers motivés.
Et de leur rappeler que « le métier de policier est un métier formidable, pas toujours facile. On y côtoie la misère humaine mais on a aussi la satisfaction constante de rendre service à ses concitoyens. » Avant de partir, le ministre de l'Intérieur a remercié tous les futurs policiers qui s'engagent aujourd'hui pour « l'avenir ». •
La voix du nord