par Un site de culture de cannabis démantelé dans le Limouxin
Un homme âgé d’une cinquantaine d’années a été placé en détention provisoire, hier, dans le cadre d’un trafic de stupéfiant auquel il se livrait dans le Limouxin. Il sera jugé en comparution immédiate, ce matin, à 11 h, par le tribunal.
L’enquête, menée conjointement par les gendarmes de la section de recherche de Montpellier et ceux de la brigade de recherche de Limoux, a duré près de deux mois, sous l’autorité du vice-procureur de Carcassonne en charge des affaires de stupéfiants, Philippe Romanello.
Une enquête partie d’un simple renseignement, qui a permis d’établir que le suspect se livrait à une culture intensive de cannabis. Mardi matin, lorsque les gendarmes ont “tapé” au domicile du quinquagénaire, dans un village proche de Limoux, ils sont tombés sur un véritable laboratoire de culture de cannabis, où une centaine de pieds ont été saisis. Sur le site, des systèmes autorisant une production bien supérieure à la saisie ont été découverts, avec la possibilité de mener à terme plusieurs cultures par an. Une activité fortement consommatrice d’électricité, avec l’usage de lampes ultra-violet pour optimiser les rendements, que le suspect parvenait à masquer par un système de dérivation du courant électrique installé avant son compteur.
Selon nos sources, le quinquagénaire, au chômage, a reconnu être consommateur de cannabis depuis une trentaine d’années. Il aurait aussi déclaré s’être lancé dans la culture intensive pour arrondir ses fins de mois. Une activité “commerciale” qui lui aurait ainsi rapporté environ 1 000 € par mois.
Le démantèlement de ce site de culture de cannabis dans le Limouxin intervient près de deux mois après la mise au jour de deux autres sites, à Carcassonne et à Alzonne. 550 plants avaient alors été saisis chez les deux frères de 38 et 47 ans, mis en examen pour “infraction à la législation sur les stupéfiants”. Le plus jeune des deux est toujours en détention provisoire, l’aîné étant sous contrôle judiciaire. Ces deux affaires n’auraient rien à voir entre elles.
Midilibre
Un homme âgé d’une cinquantaine d’années a été placé en détention provisoire, hier, dans le cadre d’un trafic de stupéfiant auquel il se livrait dans le Limouxin. Il sera jugé en comparution immédiate, ce matin, à 11 h, par le tribunal.
L’enquête, menée conjointement par les gendarmes de la section de recherche de Montpellier et ceux de la brigade de recherche de Limoux, a duré près de deux mois, sous l’autorité du vice-procureur de Carcassonne en charge des affaires de stupéfiants, Philippe Romanello.
Une enquête partie d’un simple renseignement, qui a permis d’établir que le suspect se livrait à une culture intensive de cannabis. Mardi matin, lorsque les gendarmes ont “tapé” au domicile du quinquagénaire, dans un village proche de Limoux, ils sont tombés sur un véritable laboratoire de culture de cannabis, où une centaine de pieds ont été saisis. Sur le site, des systèmes autorisant une production bien supérieure à la saisie ont été découverts, avec la possibilité de mener à terme plusieurs cultures par an. Une activité fortement consommatrice d’électricité, avec l’usage de lampes ultra-violet pour optimiser les rendements, que le suspect parvenait à masquer par un système de dérivation du courant électrique installé avant son compteur.
Selon nos sources, le quinquagénaire, au chômage, a reconnu être consommateur de cannabis depuis une trentaine d’années. Il aurait aussi déclaré s’être lancé dans la culture intensive pour arrondir ses fins de mois. Une activité “commerciale” qui lui aurait ainsi rapporté environ 1 000 € par mois.
Le démantèlement de ce site de culture de cannabis dans le Limouxin intervient près de deux mois après la mise au jour de deux autres sites, à Carcassonne et à Alzonne. 550 plants avaient alors été saisis chez les deux frères de 38 et 47 ans, mis en examen pour “infraction à la législation sur les stupéfiants”. Le plus jeune des deux est toujours en détention provisoire, l’aîné étant sous contrôle judiciaire. Ces deux affaires n’auraient rien à voir entre elles.
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