Un nouveau radar embarqué à bord d'une voiture banalisée pourra bientôt...
photographier, en roulant, les automobilistes en excès de vitesse.
ETM: Équipement de Terrain Mobile. Derrière ce sigle se cache la future terreur des chauffards. Et pas seulement des fous du volant… La préfecture de police (P.P.) de Paris vient de rendre jeudi les deux appareils radar mobiles de nouvelle génération qu'elle avait en expérimentation depuis octobre, comme un certain nombre de services de police et de gendarmerie en France, notamment dans les Yvelines. Deux appareils différents donc, l'un simplement photographique, mais qui flashe dans tous les sens, l'autre vidéo, qui filme tous azimuts.
La CRS de Massy (Essonne) disposait d'un modèle, le Service de répression de la délinquance routière (SRDR) d'un autre. Quel que soit le modèle, l'appareil doit être installé dans l'habitacle de la voiture de police, évidemment banalisée. Son flash peut être situé sur la plage arrière ou caché dans la plaque d'immatriculation.
«Radar-couteau suisse».
Le modèle vidéo aurait apparemment les préférences de la police, car outre le constat des excès de vitesse, il peut vérifier les plaques d'immatriculation en direct pour détecter les véhicules volés, mais aussi filmer une scène de rue. Ce qui permettrait, par exemple, aux forces de l'ordre de filmer les lieux d'accident et de fournir une preuve en cas de contestation.
De prise en main très facile, il ne nécessite pas une formation très compliquée. «Les personnels l'ont tout de suite adopté», se réjouit un gradé de la police parisienne. Ce «radar-couteau suisse», comme disent les policiers, coûte un peu plus cher que le simple appareil photographique, mais les options sont définissables «à la carte». Test concluant. En tout cas, à la «P.P.». A noter que ce type de radar, constamment en mouvement, pourra difficilement être signalé par les possesseurs d'avertisseurs de radars de type Coyote.
Jean-Marc Leclerc, Thierry Etienne
Source le Figaro.fr via UNAPM
photographier, en roulant, les automobilistes en excès de vitesse.
ETM: Équipement de Terrain Mobile. Derrière ce sigle se cache la future terreur des chauffards. Et pas seulement des fous du volant… La préfecture de police (P.P.) de Paris vient de rendre jeudi les deux appareils radar mobiles de nouvelle génération qu'elle avait en expérimentation depuis octobre, comme un certain nombre de services de police et de gendarmerie en France, notamment dans les Yvelines. Deux appareils différents donc, l'un simplement photographique, mais qui flashe dans tous les sens, l'autre vidéo, qui filme tous azimuts.
La CRS de Massy (Essonne) disposait d'un modèle, le Service de répression de la délinquance routière (SRDR) d'un autre. Quel que soit le modèle, l'appareil doit être installé dans l'habitacle de la voiture de police, évidemment banalisée. Son flash peut être situé sur la plage arrière ou caché dans la plaque d'immatriculation.
«Radar-couteau suisse».
Le modèle vidéo aurait apparemment les préférences de la police, car outre le constat des excès de vitesse, il peut vérifier les plaques d'immatriculation en direct pour détecter les véhicules volés, mais aussi filmer une scène de rue. Ce qui permettrait, par exemple, aux forces de l'ordre de filmer les lieux d'accident et de fournir une preuve en cas de contestation.
De prise en main très facile, il ne nécessite pas une formation très compliquée. «Les personnels l'ont tout de suite adopté», se réjouit un gradé de la police parisienne. Ce «radar-couteau suisse», comme disent les policiers, coûte un peu plus cher que le simple appareil photographique, mais les options sont définissables «à la carte». Test concluant. En tout cas, à la «P.P.». A noter que ce type de radar, constamment en mouvement, pourra difficilement être signalé par les possesseurs d'avertisseurs de radars de type Coyote.
Jean-Marc Leclerc, Thierry Etienne
Source le Figaro.fr via UNAPM