par Narbonne Escalade de violence : les voleurs foncent, les policiers tirent
Les cambrioleurs ont réussi à s’enfuir dans les Pyrénées-Orientales.
Après le spectaculaire braquage de Diamantor par cinq malfrats encagoulés et armés qui ont emporté pour plusieurs centaines de milliers d’euros de bijoux, Narbonne a connu un nouvel épisode violent.
Il est 3 h 30, dans la nuit de mercredi à jeudi sur le parking de l’hyper Géant, route de Perpignan. Une Peugeot 406 de couleur sombre, aux plaques d’immatriculation maquillées, se gare. Trois hommes encagoulés en sortent et se dirigent vers la boutique de téléphonie Orange. Mais les aboiements du chien du vigile - que les malfrats n’avaient pas vu - les mettent en fuite.
L’alerte est donnée. Trois véhicules de police filent sur les lieux. Mais c’est un quatrième, celui de la Bac (brigade anticriminalité), qui “tombe” sur la 406 cachée près du complexe de loisirs Espace de Liberté
A tombeau ouvert
Une course-poursuite s’engage alors sur la route de Perpignan. La voiture des cambrioleurs passe à toute vitesse devant Géant où elle avait été repérée quelques minutes plus tôt. Mais un peu plus loin, à la sortie de la ville, trois véhicules de police tentent de la bloquer au niveau du giratoire Renault.
Des policiers sont debout sur la chaussée et somment le chauffeur de s’arrêter. Celui-ci leur fonce dessus. Ils s’écartent, évitant d’être percutés, et tirent deux coups de feu dans la Peugeot qui s’est évanouie dans la nuit.
"Une escalade de violence"
Sa trace est retrouvée un peu plus tard à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) par les gendarmes avertis par le commissariat de Narbonne. Avant d’être complètement perdue.
David Leyraud, secrétaire départemental du syndicat de police Alliance, apporte son "soutien à (ses) collègues dont la vie a été menacée". Il dénonce "une escalade de violence" après deux faits similaires en juin et en août à Narbonne. Le syndicaliste craint "un drame d’ici la fin de l’année".
Midilibre
Les cambrioleurs ont réussi à s’enfuir dans les Pyrénées-Orientales.
Après le spectaculaire braquage de Diamantor par cinq malfrats encagoulés et armés qui ont emporté pour plusieurs centaines de milliers d’euros de bijoux, Narbonne a connu un nouvel épisode violent.
Il est 3 h 30, dans la nuit de mercredi à jeudi sur le parking de l’hyper Géant, route de Perpignan. Une Peugeot 406 de couleur sombre, aux plaques d’immatriculation maquillées, se gare. Trois hommes encagoulés en sortent et se dirigent vers la boutique de téléphonie Orange. Mais les aboiements du chien du vigile - que les malfrats n’avaient pas vu - les mettent en fuite.
L’alerte est donnée. Trois véhicules de police filent sur les lieux. Mais c’est un quatrième, celui de la Bac (brigade anticriminalité), qui “tombe” sur la 406 cachée près du complexe de loisirs Espace de Liberté
A tombeau ouvert
Une course-poursuite s’engage alors sur la route de Perpignan. La voiture des cambrioleurs passe à toute vitesse devant Géant où elle avait été repérée quelques minutes plus tôt. Mais un peu plus loin, à la sortie de la ville, trois véhicules de police tentent de la bloquer au niveau du giratoire Renault.
Des policiers sont debout sur la chaussée et somment le chauffeur de s’arrêter. Celui-ci leur fonce dessus. Ils s’écartent, évitant d’être percutés, et tirent deux coups de feu dans la Peugeot qui s’est évanouie dans la nuit.
"Une escalade de violence"
Sa trace est retrouvée un peu plus tard à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) par les gendarmes avertis par le commissariat de Narbonne. Avant d’être complètement perdue.
David Leyraud, secrétaire départemental du syndicat de police Alliance, apporte son "soutien à (ses) collègues dont la vie a été menacée". Il dénonce "une escalade de violence" après deux faits similaires en juin et en août à Narbonne. Le syndicaliste craint "un drame d’ici la fin de l’année".
Midilibre
