Le sexagénaire réapparaît après deux mois dans les bois
Il avait tout simplement besoin de s'isoler. Un habitant de la Nièvre, que les gendarmes recherchaient depuis sa disparition début octobre, vient de refaire surface. Il avait tout simplement planté sa tente dans un bois proche de son domicile, à Decize, et vécu de pommes sauvages et d'eau fraiche pendant deux mois. A l'approche des fêtes, il a fini par se lasser de son aventure champêtre et solitaire.
Avant de disparaître de la circulation le 13 octobre dernier, René Mikolajewski, 60 ans, souffrant de «troubles psychologiques», avait pris le soin d'écrire quelques lettres d'adieu à ses proches, révélait mercredi le Journal du Centre. Alertés, les gendarmes, craignant un suicide, avaient entrepris de rechercher son corps aux alentours. Maîtres-chiens, plongeurs, entretiens avec les proches : ils avaient déployé des moyens importants pour le retrouver, en vain.
Ignorant tout des recherches entreprises par les enquêteurs, le sexagénaire vivait en fait à 3 kilomètres de chez lui. Besoin de s'isoler ? Désarroi passager ? Finalement, l'homme, désireux de se rapprocher des siens, selon les gendarmes, est sorti de lui même du bois, pour prévenir l'un de ses cousins. Auditionné par les enquêteurs, René Mikolajewski, qui a perdu 25 kilos dans l'aventure, a affirmé ne pas se souvenir avoir laissé de message annonçant son intention de mettre fin à ses jours.
Leparisien
Il avait tout simplement besoin de s'isoler. Un habitant de la Nièvre, que les gendarmes recherchaient depuis sa disparition début octobre, vient de refaire surface. Il avait tout simplement planté sa tente dans un bois proche de son domicile, à Decize, et vécu de pommes sauvages et d'eau fraiche pendant deux mois. A l'approche des fêtes, il a fini par se lasser de son aventure champêtre et solitaire.
Avant de disparaître de la circulation le 13 octobre dernier, René Mikolajewski, 60 ans, souffrant de «troubles psychologiques», avait pris le soin d'écrire quelques lettres d'adieu à ses proches, révélait mercredi le Journal du Centre. Alertés, les gendarmes, craignant un suicide, avaient entrepris de rechercher son corps aux alentours. Maîtres-chiens, plongeurs, entretiens avec les proches : ils avaient déployé des moyens importants pour le retrouver, en vain.
Ignorant tout des recherches entreprises par les enquêteurs, le sexagénaire vivait en fait à 3 kilomètres de chez lui. Besoin de s'isoler ? Désarroi passager ? Finalement, l'homme, désireux de se rapprocher des siens, selon les gendarmes, est sorti de lui même du bois, pour prévenir l'un de ses cousins. Auditionné par les enquêteurs, René Mikolajewski, qui a perdu 25 kilos dans l'aventure, a affirmé ne pas se souvenir avoir laissé de message annonçant son intention de mettre fin à ses jours.
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