Un incendie qui s’est déclenché dans la nuit de mardi à mercredi dans la maison de retraite « Les Anémones », située dans le 12e arrondissement de Marseille, a causé la mort de six pensionnaires (six femmes), décédés par intoxication.
L’incendie a débuté dans une chambre du troisième étage. « L’incendie s’est déclaré ce matin vers 2 h 30. Il a été assez violent, circonscrit à une seule chambre » dont le pensionnaire n’est pas décédé, a indiqué à la presse sur place le procureur adjoint de la République de Marseille, Christophe Barret.
« Le bilan aurait pu être encore plus lourd »
Il y a « trois blessés graves et 10 blessés plus légers qui souffrent d’intoxication moins sérieuse », a-t-il ajouté, jugeant que « le bilan aurait pu être encore plus lourd ».
« Le feu semble avoir pris dans une chambre qui a été entièrement ravagée par les flammes », a-t-il dit, ajoutant que les pensionnaires étaient « très perturbés ».
Au total, 180 personnes sont hébergées dans cette maison de retraite et seule une partie d’entre elles a dû être évacuée.
Le feu a été maîtrisé par les marins-pompiers qui ont déployé sur place 80 hommes et 28 véhicules. Ils ont pris en charge les blessés. Le préfet délégué pour la sécurité, Alain Gardère s’est rendu sur place.
Un incendie sans doute accidentel
Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire pour déterminer les causes de l’incendie. Selon une source proche de l’enquête, l’incendie serait d’origine accidentelle.
Cette maison de retraite est un établissement privé, médicalisé, agréé et conventionné par l’aide sociale, « installé dans un cadre calme, tranquille au pied du village de Saint-Julien », qui accueille des personnes valides, semi-valides et dépendantes dans des unités spécifiques, selon le descriptif de son site internet.
Mi-novembre, un incendie dans une maison de retraite de La Rochefoucauld (Charente) avait fait trois morts et onze blessés. Selon plusieurs témoignages, une cigarette mal éteinte pourrait avoir été à l’origine de ce sinistre.
La ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot, doit se rendre sur place en début d’après-midi.
source : ouest France .
L’incendie a débuté dans une chambre du troisième étage. « L’incendie s’est déclaré ce matin vers 2 h 30. Il a été assez violent, circonscrit à une seule chambre » dont le pensionnaire n’est pas décédé, a indiqué à la presse sur place le procureur adjoint de la République de Marseille, Christophe Barret.
« Le bilan aurait pu être encore plus lourd »
Il y a « trois blessés graves et 10 blessés plus légers qui souffrent d’intoxication moins sérieuse », a-t-il ajouté, jugeant que « le bilan aurait pu être encore plus lourd ».
« Le feu semble avoir pris dans une chambre qui a été entièrement ravagée par les flammes », a-t-il dit, ajoutant que les pensionnaires étaient « très perturbés ».
Au total, 180 personnes sont hébergées dans cette maison de retraite et seule une partie d’entre elles a dû être évacuée.
Le feu a été maîtrisé par les marins-pompiers qui ont déployé sur place 80 hommes et 28 véhicules. Ils ont pris en charge les blessés. Le préfet délégué pour la sécurité, Alain Gardère s’est rendu sur place.
Un incendie sans doute accidentel
Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire pour déterminer les causes de l’incendie. Selon une source proche de l’enquête, l’incendie serait d’origine accidentelle.
Cette maison de retraite est un établissement privé, médicalisé, agréé et conventionné par l’aide sociale, « installé dans un cadre calme, tranquille au pied du village de Saint-Julien », qui accueille des personnes valides, semi-valides et dépendantes dans des unités spécifiques, selon le descriptif de son site internet.
Mi-novembre, un incendie dans une maison de retraite de La Rochefoucauld (Charente) avait fait trois morts et onze blessés. Selon plusieurs témoignages, une cigarette mal éteinte pourrait avoir été à l’origine de ce sinistre.
La ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot, doit se rendre sur place en début d’après-midi.
source : ouest France .