Marseille: des centaines de policiers présents aux obsèques du policier tué
Le lieu était trop petit pour contenir la foule venue lui rendre hommage. Des centaines de policiers étaient présents, lundi après-midi à Marseille, à la cérémonie d'obsèques de leur collègue, le lieutenant Eric Lales, décédé jeudi après avoir été blessé par balles fin novembre à Vitrolles (Bouches-du-Rhône).
La cérémonie a débuté à 15h25 dans la cour de l'Evêché, le bâtiment abritant l'Hôtel de police de Marseille, en présence du ministre de l'Intérieur Claude Guéant, de la veuve du policier, de sa famille et de ses collègues du commissariat d'Aix-en-Provence. Plusieurs dizaines de personnes ont été contraintes de rester à l'extérieur du bâtiment, faute de place à l'intérieur de l'Evêché.
Elevé, à titre posthume, au grade de chevalier de la Légion d'honneur
Une délégation du commissariat de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise), où travaillait Eric Lales avant d'être muté dans les Bouches-du-Rhône au sein d'une brigade anti-criminalité (BAC), ainsi que de nombreux élus, dont la maire d'Aix-en-Provence (UMP) Maryse Joissains, étaient également présents.
Au cours de la cérémonie, qui devait durer une demi-heure, le lieutenant Lales devait être élevé, à titre posthume, au grade de chevalier de la Légion d'honneur par le préfet de région, qui devait également lui remettre la médaille d'or pour «actes de courage et de dévouement», tandis que le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Péchenard, devait lui remettre la médaille d'honneur de la police nationale. Le cercueil du lieutenant Lales était porté par ses collègues de la BAC d'Aix-en-Provence en tenue.
Dans la nuit du 27 au 28 novembre à Vitrolles (Bouches-du-Rhône), le policier avait été touché à la tête et à l'épaule par un tir de kalachnikov, après une course poursuite avec des malfaiteurs, auteurs d'une série de cambriolages. Un des malfaiteurs avait été tué, les autres avaient réussi à prendre la fuite.
Une marche blanche a réuni dimanche matin quelque 2 000 personnes à Montfort-sur-Argens (Var), où le policier vivait avec sa femme et ses deux filles.
LeParisien.fr
Le lieu était trop petit pour contenir la foule venue lui rendre hommage. Des centaines de policiers étaient présents, lundi après-midi à Marseille, à la cérémonie d'obsèques de leur collègue, le lieutenant Eric Lales, décédé jeudi après avoir été blessé par balles fin novembre à Vitrolles (Bouches-du-Rhône).
La cérémonie a débuté à 15h25 dans la cour de l'Evêché, le bâtiment abritant l'Hôtel de police de Marseille, en présence du ministre de l'Intérieur Claude Guéant, de la veuve du policier, de sa famille et de ses collègues du commissariat d'Aix-en-Provence. Plusieurs dizaines de personnes ont été contraintes de rester à l'extérieur du bâtiment, faute de place à l'intérieur de l'Evêché.
Elevé, à titre posthume, au grade de chevalier de la Légion d'honneur
Une délégation du commissariat de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise), où travaillait Eric Lales avant d'être muté dans les Bouches-du-Rhône au sein d'une brigade anti-criminalité (BAC), ainsi que de nombreux élus, dont la maire d'Aix-en-Provence (UMP) Maryse Joissains, étaient également présents.
Au cours de la cérémonie, qui devait durer une demi-heure, le lieutenant Lales devait être élevé, à titre posthume, au grade de chevalier de la Légion d'honneur par le préfet de région, qui devait également lui remettre la médaille d'or pour «actes de courage et de dévouement», tandis que le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Péchenard, devait lui remettre la médaille d'honneur de la police nationale. Le cercueil du lieutenant Lales était porté par ses collègues de la BAC d'Aix-en-Provence en tenue.
Dans la nuit du 27 au 28 novembre à Vitrolles (Bouches-du-Rhône), le policier avait été touché à la tête et à l'épaule par un tir de kalachnikov, après une course poursuite avec des malfaiteurs, auteurs d'une série de cambriolages. Un des malfaiteurs avait été tué, les autres avaient réussi à prendre la fuite.
Une marche blanche a réuni dimanche matin quelque 2 000 personnes à Montfort-sur-Argens (Var), où le policier vivait avec sa femme et ses deux filles.
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