Deux laboratoires de production de cannabis démantelés
Deux laboratoires clandestins de production de cannabis ont été découverts dans les sous-sols de deux maisons de l'Aude et deux personnes ont été placées en garde à vue.
Les laboratoires étaient équipés de lampes à ultra-violets pour optimiser le rendement de 550 plants de cannabis et obtenir une production de plus de 155 000 euros à la revente. L'opération a été menée par les gendarmes de la section de recherche de Montpellier.
Expansion de la culture du cannabis en France
Les gendarmes de Prades avaient déjà saisi 350 plants et arrêté 3 personnes dans une maison inhabitée des Pyrénées-Orientales voisines en avril. Les gendarmes observent une expansion de la culture du cannabis en France, pas seulement chez les particuliers.
Des organisations criminelles sont attirées par un produit récolté plusieurs fois par an et qui peut être consommé près de la zone de production, ce qui réduit les risques inhérents au transport.
Sur chacun des trois sites, les mis en cause avaient installé, avant leur compteur, des systèmes de dérivation du courant électrique destinés à masquer leur surconsommation. Les deux mis en cause ont été présentés à un magistrat cet après-midi.
Midilibre
Deux laboratoires clandestins de production de cannabis ont été découverts dans les sous-sols de deux maisons de l'Aude et deux personnes ont été placées en garde à vue.
Les laboratoires étaient équipés de lampes à ultra-violets pour optimiser le rendement de 550 plants de cannabis et obtenir une production de plus de 155 000 euros à la revente. L'opération a été menée par les gendarmes de la section de recherche de Montpellier.
Expansion de la culture du cannabis en France
Les gendarmes de Prades avaient déjà saisi 350 plants et arrêté 3 personnes dans une maison inhabitée des Pyrénées-Orientales voisines en avril. Les gendarmes observent une expansion de la culture du cannabis en France, pas seulement chez les particuliers.
Des organisations criminelles sont attirées par un produit récolté plusieurs fois par an et qui peut être consommé près de la zone de production, ce qui réduit les risques inhérents au transport.
Sur chacun des trois sites, les mis en cause avaient installé, avant leur compteur, des systèmes de dérivation du courant électrique destinés à masquer leur surconsommation. Les deux mis en cause ont été présentés à un magistrat cet après-midi.
Midilibre