par La montagne brûle toujours
Un incendie de forêt parti vendredi après-midi en montagne entre Porta et Latour-de-Carol (Pyrénées-Orientales) a brûlé 130 hectares, mais ne progresse plus, "fixé" par les pompiers français et espagnols.
Près de cent cinquante pompiers français et espagnols aidés par quatre avions français et quatre hélicoptères bombardiers d'eau espagnols étaient mobilisés contre le feu. L'incendie a démarré peu avant 17 h vendredi dans une zone inhabitée, très escarpée et difficile d'accès, à un kilomètre environ de la frontière.
Les moyens aériens "se concentrent pour empêcher que le feu ne dépasse la ligne de crête et bascule en Espagne où il y a beaucoup de végétation à brûler", a dit un membre du CODIS (centre opérationnel départemental incendie et secours). Les conditions météo étaient favorables aux secours, samedi midi, avec un vent faible. Les pompiers s'attendaient néammoins à une lutte de longue haleine pour éteindre complètement l'incendie, surtout si le vent se lève dans l'après-midi.
"Il faut être très prudent, la végétation est dense"
"Nous devrons sûrement garder encore des effectifs importants au sol cette nuit", a-t-on précisé de même source, en rappelant qu'"en 1986 il avait fallu une semaine pour éteindre complètement un incendie déclenché au même endroit". "Il faut être très prudent, la végétation est dense, on peut avoir l'impression de venir à bout du feu et le voir repartir en-dessous", a expliqué le directeur de cabinet du préfet des Pyrénées-Orientales, Emmanuel Moulard.
La zone du sinistre est proche d'une voie ferrée et d'une ligne à haute tension, qui peuvent être source d'étincelles, mais, a souligné Emmanuel Moulard, "les raisons du sinistre restent inconnues pour l'instant".
Midilibre
Un incendie de forêt parti vendredi après-midi en montagne entre Porta et Latour-de-Carol (Pyrénées-Orientales) a brûlé 130 hectares, mais ne progresse plus, "fixé" par les pompiers français et espagnols.
Près de cent cinquante pompiers français et espagnols aidés par quatre avions français et quatre hélicoptères bombardiers d'eau espagnols étaient mobilisés contre le feu. L'incendie a démarré peu avant 17 h vendredi dans une zone inhabitée, très escarpée et difficile d'accès, à un kilomètre environ de la frontière.
Les moyens aériens "se concentrent pour empêcher que le feu ne dépasse la ligne de crête et bascule en Espagne où il y a beaucoup de végétation à brûler", a dit un membre du CODIS (centre opérationnel départemental incendie et secours). Les conditions météo étaient favorables aux secours, samedi midi, avec un vent faible. Les pompiers s'attendaient néammoins à une lutte de longue haleine pour éteindre complètement l'incendie, surtout si le vent se lève dans l'après-midi.
"Il faut être très prudent, la végétation est dense"
"Nous devrons sûrement garder encore des effectifs importants au sol cette nuit", a-t-on précisé de même source, en rappelant qu'"en 1986 il avait fallu une semaine pour éteindre complètement un incendie déclenché au même endroit". "Il faut être très prudent, la végétation est dense, on peut avoir l'impression de venir à bout du feu et le voir repartir en-dessous", a expliqué le directeur de cabinet du préfet des Pyrénées-Orientales, Emmanuel Moulard.
La zone du sinistre est proche d'une voie ferrée et d'une ligne à haute tension, qui peuvent être source d'étincelles, mais, a souligné Emmanuel Moulard, "les raisons du sinistre restent inconnues pour l'instant".
Midilibre
