Le principal du collège retrouvé mort sur une passerelle
Le cadavre d’un homme de 62 ans a été découvert dimanche à Conflans-Sainte-Honorine. Vers 9h20, sur la passerelle Saint-Nicolas, un cycliste aperçoit un corps gisant derrière la balustrade de sécurité.
L’inconnu a un poids attaché à la cheville droite avec du fil électrique. Le mort présente aussi une blessure à la tempe droite qui pourrait correspondre à une blessure par balle.
Les forces de l’ordre n’ont retrouvé ni arme ni douille à proximité. La victime n’avait aucun papier sur elle. « Le fait que ce soit un suicide ne fait pas de doute », précise une source proche de l’affaire. Les enquêteurs tentent d’effectuer des rapprochements avec les dossiers des personnes disparues.
Ni la victime ni l’établissement ne présentaient de difficultés
Dimanche soir, le fils du principal du collège Montaigne appelle la police. Vers 21 heures, il s’est rendu compte que son père n’était pas à son domicile. La porte n’était pas fermée à clé. Toutes ses affaires étaient en ordre et il n’a laissé aucun mot expliquant son absence. Le fils a appelé les hôpitaux sans résultat. Les forces de l’ordre ont effectué des recherches dans l’enceinte de l’établissement scolaire, sans plus de résultat.
Hier après-midi, la famille du principal a identifié le cadavre de la passerelle à l’Institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine). Pour l’instant, l’enquête n’a pas permis d’établir les raisons qui ont poussé le sexagénaire à commettre l’irréparable. « Une chose est sûre, c’est qu’aucune raison d’ordre professionnel ne peut être avancée. » L’inspecteur d’académie, Jean-Michel Coignard, confirme que ni la victime ni l’établissement ne présentaient de difficultés particulières.
Par ailleurs, dans une affaire comparable, l’inspecteur d’académie, accompagné du maire de Versailles, s’est rendu dans les locaux de l’école élémentaire Colonel-de-Bange afin de manifester son soutien au corps enseignant et aux parents d’élèves à l’occasion de la rentrée.
En effet, au début du mois de juillet, le directeur de l’école avait mis fin à ses jours en se pendant dans son bureau. L’enquête a conclu que le suicide de Michel C., 56 ans, qui avait laissé une lettre, était lié à des difficultés d’ordre personnel.
Le Parisien
Le cadavre d’un homme de 62 ans a été découvert dimanche à Conflans-Sainte-Honorine. Vers 9h20, sur la passerelle Saint-Nicolas, un cycliste aperçoit un corps gisant derrière la balustrade de sécurité.
L’inconnu a un poids attaché à la cheville droite avec du fil électrique. Le mort présente aussi une blessure à la tempe droite qui pourrait correspondre à une blessure par balle.
Les forces de l’ordre n’ont retrouvé ni arme ni douille à proximité. La victime n’avait aucun papier sur elle. « Le fait que ce soit un suicide ne fait pas de doute », précise une source proche de l’affaire. Les enquêteurs tentent d’effectuer des rapprochements avec les dossiers des personnes disparues.
Ni la victime ni l’établissement ne présentaient de difficultés
Dimanche soir, le fils du principal du collège Montaigne appelle la police. Vers 21 heures, il s’est rendu compte que son père n’était pas à son domicile. La porte n’était pas fermée à clé. Toutes ses affaires étaient en ordre et il n’a laissé aucun mot expliquant son absence. Le fils a appelé les hôpitaux sans résultat. Les forces de l’ordre ont effectué des recherches dans l’enceinte de l’établissement scolaire, sans plus de résultat.
Hier après-midi, la famille du principal a identifié le cadavre de la passerelle à l’Institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine). Pour l’instant, l’enquête n’a pas permis d’établir les raisons qui ont poussé le sexagénaire à commettre l’irréparable. « Une chose est sûre, c’est qu’aucune raison d’ordre professionnel ne peut être avancée. » L’inspecteur d’académie, Jean-Michel Coignard, confirme que ni la victime ni l’établissement ne présentaient de difficultés particulières.
Par ailleurs, dans une affaire comparable, l’inspecteur d’académie, accompagné du maire de Versailles, s’est rendu dans les locaux de l’école élémentaire Colonel-de-Bange afin de manifester son soutien au corps enseignant et aux parents d’élèves à l’occasion de la rentrée.
En effet, au début du mois de juillet, le directeur de l’école avait mis fin à ses jours en se pendant dans son bureau. L’enquête a conclu que le suicide de Michel C., 56 ans, qui avait laissé une lettre, était lié à des difficultés d’ordre personnel.
Le Parisien