par Un hectare et demi de pinède en fumée
Un hectare et demi de terre noircie et des arbustres calcinés, c’était ce qu’il restait de la pinède, hier vers 19 h 15, alors que les pompiers en terminaient avec un incendie aux abords de Villedubert. Celui-ci s’était déclenché plus d’une heure et demi auparavant.
Alertés peu avant 18 h, les hommes du feu se sont rendu sur place avec une dizaine de camions. Deux avions tracker ont largué à deux reprises de l’eau pour couper la tête de feu et ainsi empêcher la progression de l’incendie. "Le vent, qui soufflait fort et la végétation dense et sèche, ont favorisé la progression du feu", a expliqué le major Michel Faelli, à la tête des opérations. La présence des avions s’est avérée d’autant plus bénéfique que l’accès sur les lieux, seulement possible par un sentier, n’était pas aisé.
L’incendie, qui serait parti d’un dépôt d’ordure, a pris à distance respectable du village, les habitations les plus proches se situant à 500 mètres des flammes. Il est par contre passé tout près d’une antenne téléphonique, par chance épargnée.
midilibre
Un hectare et demi de terre noircie et des arbustres calcinés, c’était ce qu’il restait de la pinède, hier vers 19 h 15, alors que les pompiers en terminaient avec un incendie aux abords de Villedubert. Celui-ci s’était déclenché plus d’une heure et demi auparavant.
Alertés peu avant 18 h, les hommes du feu se sont rendu sur place avec une dizaine de camions. Deux avions tracker ont largué à deux reprises de l’eau pour couper la tête de feu et ainsi empêcher la progression de l’incendie. "Le vent, qui soufflait fort et la végétation dense et sèche, ont favorisé la progression du feu", a expliqué le major Michel Faelli, à la tête des opérations. La présence des avions s’est avérée d’autant plus bénéfique que l’accès sur les lieux, seulement possible par un sentier, n’était pas aisé.
L’incendie, qui serait parti d’un dépôt d’ordure, a pris à distance respectable du village, les habitations les plus proches se situant à 500 mètres des flammes. Il est par contre passé tout près d’une antenne téléphonique, par chance épargnée.
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