Roubaix : enquête sur une agression sexuelle à l'école de police
Deux élèves de l'école de police de Roubaix (Nord) ont été suspendus suite au dépôt de plainte pour viol déposée par une camarade de promotion âgée d'une vingtaine d'années. L'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la police des polices) a ouvert une enquête après l'agression sexuelle présumée, a annoncé vendredi le parquet à Lille.
Les faits se seraient produits le 13 juillet lors d'une soirée alcoolisée organisée dans les locaux de l'école à Roubaix pour fêter la fin des douze mois de formation des gardiens-élèves. Selon une source proche du dossier, des circulaires interdisent la consommation d'alcool dans les services de police. Il y a quelques mois, un bar-cafétéria de l'école a été d'ailleurs fermé. Mais,il semblerait que la consommation ait été autorisée de façon exceptionnelle pour cette soirée.
Cinq élèves, tous élèves gardiens de la paix, et du même âge que la jeune femme, ont été placés en garde à vue jeudi dans le cadre des investigations menées par l'IGPN suite au dépôt d'une plainte de la victime présumée. Ils ont été relâchés vendredi dans la matinée sans être mis en examen.
LeParisien.fr
Deux élèves de l'école de police de Roubaix (Nord) ont été suspendus suite au dépôt de plainte pour viol déposée par une camarade de promotion âgée d'une vingtaine d'années. L'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la police des polices) a ouvert une enquête après l'agression sexuelle présumée, a annoncé vendredi le parquet à Lille.
Les faits se seraient produits le 13 juillet lors d'une soirée alcoolisée organisée dans les locaux de l'école à Roubaix pour fêter la fin des douze mois de formation des gardiens-élèves. Selon une source proche du dossier, des circulaires interdisent la consommation d'alcool dans les services de police. Il y a quelques mois, un bar-cafétéria de l'école a été d'ailleurs fermé. Mais,il semblerait que la consommation ait été autorisée de façon exceptionnelle pour cette soirée.
Cinq élèves, tous élèves gardiens de la paix, et du même âge que la jeune femme, ont été placés en garde à vue jeudi dans le cadre des investigations menées par l'IGPN suite au dépôt d'une plainte de la victime présumée. Ils ont été relâchés vendredi dans la matinée sans être mis en examen.
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