Drôme : une jeune joggeuse victime d'une agression sexuelle
Une jeune fille de 21 ans, qui faisait du jogging mardi matin sur un chemin de terre à Ancône, dans la Drôme, a été agressée sexuellement et l'auteur est recherché, a-t-on appris mercredi auprès du parquet de Valence. Un fait-divers qui en évoque un autre tragique, la découverte le 21 juin dernier, dans le département voisin de l'Ardèche du corps carbonisé de la jeune Marie-Jeanne Meyer. Rien ne permet pour l'instant de faire un lien entre les deux affaires. La jeune fille a été entendue mercredi matin par les enquêteurs, après avoir été l'objet d'examens médicaux. D'après son récit, conforté par les constats médicaux, elle a reçu des coups de poing au ventre et à la tête. Elle dit aussi avoir perdu connaissance.
Son agresseur lui a touché la poitrine mais ne l'a pas violée. Des prélèvements ADN, notamment sur ses ongles, ont été effectués et sont en cours d'analyse. La victime a eu 21 jours d'incapacité temporaire de travail (ITT), en raison de ses nombreuses ecchymoses et du choc émotionnel qu'elle a subi.
Elle n'avait pas fait de jogging depuis plusieurs semaines et n'avait donc pas pour habitude d'emprunter ce parcours.
L'enquête de flagrance pour agression sexuelle est conduite par les policiers de Montélimar. «Tant dans la commission des faits que dans le résultat de l'agression, rien ne permet de faire un rapprochement avec la joggeuse» Marie-Jeanne Meyer, dont le corps a été retrouvé dans département voisin, a précisé le procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli.
LeParisien.fr
Une jeune fille de 21 ans, qui faisait du jogging mardi matin sur un chemin de terre à Ancône, dans la Drôme, a été agressée sexuellement et l'auteur est recherché, a-t-on appris mercredi auprès du parquet de Valence. Un fait-divers qui en évoque un autre tragique, la découverte le 21 juin dernier, dans le département voisin de l'Ardèche du corps carbonisé de la jeune Marie-Jeanne Meyer. Rien ne permet pour l'instant de faire un lien entre les deux affaires. La jeune fille a été entendue mercredi matin par les enquêteurs, après avoir été l'objet d'examens médicaux. D'après son récit, conforté par les constats médicaux, elle a reçu des coups de poing au ventre et à la tête. Elle dit aussi avoir perdu connaissance.
Son agresseur lui a touché la poitrine mais ne l'a pas violée. Des prélèvements ADN, notamment sur ses ongles, ont été effectués et sont en cours d'analyse. La victime a eu 21 jours d'incapacité temporaire de travail (ITT), en raison de ses nombreuses ecchymoses et du choc émotionnel qu'elle a subi.
Elle n'avait pas fait de jogging depuis plusieurs semaines et n'avait donc pas pour habitude d'emprunter ce parcours.
L'enquête de flagrance pour agression sexuelle est conduite par les policiers de Montélimar. «Tant dans la commission des faits que dans le résultat de l'agression, rien ne permet de faire un rapprochement avec la joggeuse» Marie-Jeanne Meyer, dont le corps a été retrouvé dans département voisin, a précisé le procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli.
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