par Une anesthésiste du centre hospitalier régional universitaire met fin à ses jours
C’est une dramatique loi des séries qui, depuis quatorze mois maintenant, touche le centre hospitalier régional universitaire de Montpellier. Car hier, on a appris qu’un troisième praticien hospitalier -il s’agit d’un médecin anesthésiste en stage - avait mis fin à ses jours, mercredi.
La victime, âgée de 35 ans, mariée, a été retrouvée sans vie à son domicile. À proximité, un courrier de quatre pages, apparemment écrit de sa main, expliquait son mal-être et sa décision d’en finir. Et était accompagné d’un post-scriptum "excluant tout lien professionnel", précise Brice Robin, le procureur de la République joint, hier.
Le parquet a également indiqué que des analyses toxicologiques étaient en cours et qu’une autopsie serait pratiquée, aujourd’hui peut-être, pour déterminer l’origine exacte du décès. Et ce, même si l’hypothèse d’une surdose médicamenteuse que se serait injectée la victime est hautement probable.
Ce décès intervient un peu plus de deux mois après celui d’un infirmier-anesthésiste du CHU, à son domicile de Saint-Martin-de-Londres.
Et quatorze mois après celui du docteur Éric Delous. Un praticien ayant mis fin à ses jours après avoir été écarté de son activité à la suite d’une erreur médicale commise sur un nourrisson, le jour de son opération.
Reste qu’aucun de ces drames n’est lié. Si ce n’est que la jeune femme, comme le docteur Delous, travaillait dans le même service, celui d’anesthésie-réanimation A.
"C’est un événement dramatique et douloureux pour elle et sa famille. Le personnel est sous le choc. C’était quelqu’un qui avait beaucoup de considération professionnelle. Elle était en stage en qualité d’attachée contractuelle dans l’établissement et venait d’être renouvelée jusqu’en octobre prochain. Elle avait été très bien accueillie, s’était très facilement intégrée et était appréciée de tous. Elle disait aussi se plaire parmi nous", raconte, Philippe Domy, le directeur général du CHRU.
Midilibre.fr
C’est une dramatique loi des séries qui, depuis quatorze mois maintenant, touche le centre hospitalier régional universitaire de Montpellier. Car hier, on a appris qu’un troisième praticien hospitalier -il s’agit d’un médecin anesthésiste en stage - avait mis fin à ses jours, mercredi.
La victime, âgée de 35 ans, mariée, a été retrouvée sans vie à son domicile. À proximité, un courrier de quatre pages, apparemment écrit de sa main, expliquait son mal-être et sa décision d’en finir. Et était accompagné d’un post-scriptum "excluant tout lien professionnel", précise Brice Robin, le procureur de la République joint, hier.
Le parquet a également indiqué que des analyses toxicologiques étaient en cours et qu’une autopsie serait pratiquée, aujourd’hui peut-être, pour déterminer l’origine exacte du décès. Et ce, même si l’hypothèse d’une surdose médicamenteuse que se serait injectée la victime est hautement probable.
Ce décès intervient un peu plus de deux mois après celui d’un infirmier-anesthésiste du CHU, à son domicile de Saint-Martin-de-Londres.
Et quatorze mois après celui du docteur Éric Delous. Un praticien ayant mis fin à ses jours après avoir été écarté de son activité à la suite d’une erreur médicale commise sur un nourrisson, le jour de son opération.
Reste qu’aucun de ces drames n’est lié. Si ce n’est que la jeune femme, comme le docteur Delous, travaillait dans le même service, celui d’anesthésie-réanimation A.
"C’est un événement dramatique et douloureux pour elle et sa famille. Le personnel est sous le choc. C’était quelqu’un qui avait beaucoup de considération professionnelle. Elle était en stage en qualité d’attachée contractuelle dans l’établissement et venait d’être renouvelée jusqu’en octobre prochain. Elle avait été très bien accueillie, s’était très facilement intégrée et était appréciée de tous. Elle disait aussi se plaire parmi nous", raconte, Philippe Domy, le directeur général du CHRU.
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