Hérault La bonne tactique des pompiers face aux feux
Les sapeurs-pompiers savent qu’on ne plaisante pas avec le feu. Et qu’il est préférable d’intervenir vite, et avec de gros moyens, "même si cela nous fait venir pour pas grand-chose", dit l’un d’eux.
Cette stratégie s’est en tout cas avérée efficace hier après-midi dans l’Ouest Hérault. Quatre départs d’incendies ont été signalés tout au long de l’après-midi, et avec le vent plutôt fort qui soufflait sur le secteur, ce sont parfois des dizaines d’hommes, ainsi que des moyens aériens, "des biplans", qui ont été engagés pour combattre les flammes.
C’est d’abord à Nébian qu’il a fallu intervenir. Quelques herbes ont commencé à brûler, elles ont été vite noyées.
Une dizaine de minutes plus tard, les pompiers étaient de nouveau appelés, cette fois du côté de Gabian. Même scénario, même si la garrigue y a laissé un peu plus de surface. Au total, 2 000 m2 ont brûlé, le plus lourd bilan de cette journée de dimanche.
Car à Réals, que les soldats du feu ont ensuite rejoint pour les mêmes causes, les conséquences étaient moindres : 600 m2 d’herbes sont partis en fumée.
Un dernier départ de feu était signalé à Florensac, mais il était vite éteint, selon un scénario bien rodé, qui pourrait se rejouer souvent cet été.
Midilibre.fr
Les sapeurs-pompiers savent qu’on ne plaisante pas avec le feu. Et qu’il est préférable d’intervenir vite, et avec de gros moyens, "même si cela nous fait venir pour pas grand-chose", dit l’un d’eux.
Cette stratégie s’est en tout cas avérée efficace hier après-midi dans l’Ouest Hérault. Quatre départs d’incendies ont été signalés tout au long de l’après-midi, et avec le vent plutôt fort qui soufflait sur le secteur, ce sont parfois des dizaines d’hommes, ainsi que des moyens aériens, "des biplans", qui ont été engagés pour combattre les flammes.
C’est d’abord à Nébian qu’il a fallu intervenir. Quelques herbes ont commencé à brûler, elles ont été vite noyées.
Une dizaine de minutes plus tard, les pompiers étaient de nouveau appelés, cette fois du côté de Gabian. Même scénario, même si la garrigue y a laissé un peu plus de surface. Au total, 2 000 m2 ont brûlé, le plus lourd bilan de cette journée de dimanche.
Car à Réals, que les soldats du feu ont ensuite rejoint pour les mêmes causes, les conséquences étaient moindres : 600 m2 d’herbes sont partis en fumée.
Un dernier départ de feu était signalé à Florensac, mais il était vite éteint, selon un scénario bien rodé, qui pourrait se rejouer souvent cet été.
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