http://www.ina.fr/video/CAB06052975/ja2-20h-emission-du-30-septembre-1995.fr.html
Mohamed Merah, le meurtrier présumé de sept personnes, est mort jeudi matin, abattu d'une balle dans la tête au cours de l'assaut mené par le Raid.Le siège de son appartement a duré plus de 30 heures et s'inscrit dans une série d'interventions périlleuses qui ont, par le passé, marqué l'histoire.
La grotte d'Ouvéa
5 mai 1988 : une semaine après l'attaque de la gendarmerie d'Ouvéa (Nouvelle-Calédonie), où des indépendantistes ont tué quatre gendarmes et pris 27 personnes en otages, assaut du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) dans une grotte où ils se sont retranchés. 19 Kanaks et deux militaires sont tués.
Human Bomb à Neuilly
15 mai 1993 : un ancien militaire qui tenait depuis deux jours en otages les enfants et une institutrice d'une école maternelle à Neuilly (Hauts-de-Seine) est tué par le Raid. Les otages sont indemnes. Erick Schmitt, qui s'était baptisé "Human Bomb", portait une ceinture de dynamite. Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget et maire de Neuilly, était intervenu comme médiateur avant l'assaut.
L'aéroport de Marignane
24 décembre 1994 : assaut à Marseille par le GIGN d'un Airbus d'Air France, détourné à Alger juste avant le décollage pour Paris par un commando du Groupe islamique armé (GIA). Deux passagers sont tués, de la dynamite placée sous les sièges. 63 otages seront relâchés par les islamistes et 173 libérés sains et saufs. Les quatre pirates de l'air sont tués, neuf gendarmes du GIGN blessés.
La mort de Khaled Kelkal
29 septembre 1995 : 800 gendarmes traquent Khaled Kelkal, membre du Groupe islamiste armé (GIA) impliqué dans plusieurs attentats commis pendant l'été 1995, notamment à la station Saint-Michel du RER à Paris (8 morts, environ 150 blessés). Il est tué à Vaugneray près de Lyon par des membres de l'Escadron parachutiste de la gendarmerie nationale (EPIGN) après avoir tiré sur les gendarmes. Une polémique était née des conditions dans lesquelles Khaled Kelkal avait été tué.
leparisien
Mohamed Merah, le meurtrier présumé de sept personnes, est mort jeudi matin, abattu d'une balle dans la tête au cours de l'assaut mené par le Raid.Le siège de son appartement a duré plus de 30 heures et s'inscrit dans une série d'interventions périlleuses qui ont, par le passé, marqué l'histoire.
La grotte d'Ouvéa
5 mai 1988 : une semaine après l'attaque de la gendarmerie d'Ouvéa (Nouvelle-Calédonie), où des indépendantistes ont tué quatre gendarmes et pris 27 personnes en otages, assaut du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) dans une grotte où ils se sont retranchés. 19 Kanaks et deux militaires sont tués.
Human Bomb à Neuilly
15 mai 1993 : un ancien militaire qui tenait depuis deux jours en otages les enfants et une institutrice d'une école maternelle à Neuilly (Hauts-de-Seine) est tué par le Raid. Les otages sont indemnes. Erick Schmitt, qui s'était baptisé "Human Bomb", portait une ceinture de dynamite. Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget et maire de Neuilly, était intervenu comme médiateur avant l'assaut.
L'aéroport de Marignane
24 décembre 1994 : assaut à Marseille par le GIGN d'un Airbus d'Air France, détourné à Alger juste avant le décollage pour Paris par un commando du Groupe islamique armé (GIA). Deux passagers sont tués, de la dynamite placée sous les sièges. 63 otages seront relâchés par les islamistes et 173 libérés sains et saufs. Les quatre pirates de l'air sont tués, neuf gendarmes du GIGN blessés.
La mort de Khaled Kelkal
29 septembre 1995 : 800 gendarmes traquent Khaled Kelkal, membre du Groupe islamiste armé (GIA) impliqué dans plusieurs attentats commis pendant l'été 1995, notamment à la station Saint-Michel du RER à Paris (8 morts, environ 150 blessés). Il est tué à Vaugneray près de Lyon par des membres de l'Escadron parachutiste de la gendarmerie nationale (EPIGN) après avoir tiré sur les gendarmes. Une polémique était née des conditions dans lesquelles Khaled Kelkal avait été tué.
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