Evacuation périlleuse à 3000m d'altitude
Une soixantaine de personnes ont été bloquées durant deux heures en début d'après-midi dans la cabine d'un téléphérique de la station de L'Alpe d'Huez (Isère), suspendue à 70 mètres de hauteur vers 3000m d'altitude.
Les skieurs ont été secourus, en rappel à l'aide d'une corde, grâce à deux gendarmes du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de l'Isère, qui avaient été héliportés dans la cabine. «Les clients, qui furent en permanence informés de la situation et des décisions prises, ont montré un calme et un sang-froid exemplaires», a assuré la Société des remontées mécaniques de la station.
La panne, qui a figé le vertigineux téléphérique du Pic Blanc à plus de 70 mètres de hauteur, à 800 mètres de la gare de départ, était due à un chevauchement de câbles sans doute provoqué par une rafale de vent. «Le câble qui tracte la télécabine s'est déplacé sur le câble porteur. Cela arrive quand il y a beaucoup de vent», a assuré le directeur général de la Société des remontées mécaniques, Jean-Christophe Hoff. Les soixante passagers ont été quitte pour une belle frayeur.
LeParisien.fr
Une soixantaine de personnes ont été bloquées durant deux heures en début d'après-midi dans la cabine d'un téléphérique de la station de L'Alpe d'Huez (Isère), suspendue à 70 mètres de hauteur vers 3000m d'altitude.
Les skieurs ont été secourus, en rappel à l'aide d'une corde, grâce à deux gendarmes du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de l'Isère, qui avaient été héliportés dans la cabine. «Les clients, qui furent en permanence informés de la situation et des décisions prises, ont montré un calme et un sang-froid exemplaires», a assuré la Société des remontées mécaniques de la station.
La panne, qui a figé le vertigineux téléphérique du Pic Blanc à plus de 70 mètres de hauteur, à 800 mètres de la gare de départ, était due à un chevauchement de câbles sans doute provoqué par une rafale de vent. «Le câble qui tracte la télécabine s'est déplacé sur le câble porteur. Cela arrive quand il y a beaucoup de vent», a assuré le directeur général de la Société des remontées mécaniques, Jean-Christophe Hoff. Les soixante passagers ont été quitte pour une belle frayeur.
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