par Chirurgie oculaire : à Nîmes, la guerre est déclarée
Ici, quand le patient entre, il a l’impression d’arriver dans une clinique du XVIe arrondissement de Paris", se réjouit un ophtalmologiste qui a choisi d’opérer, désormais, à Femtovision.
Sur ce tout nouveau plateau technique nîmois, grand comme un appartement quatre pièces et à la déco contemporaine, on corrige au laser la myopie, l’astigmatisme, l’hypermétropie et la presbytie.
"On a un matériel unique en Languedoc-Roussillon"
Des interventions, dites de confort, qui permettent d’abandonner ses lunettes ou lentilles.
Inauguré il y a quelques jours, Femtovision est installé au deuxième étage de Villégiales espace santé, près du stade des Costières.
Des fenêtres de la salle d’attente, on a une vue imprenable sur la Polyclinique du Grand Sud (PGS), où le leader européen de la chirurgie oculaire au laser, Optical Express, loue des locaux.
En quelques semaines, Femtovison a ravi toute l’activité d’Optical Express.
"On a un matériel unique en Languedoc-Roussillon", assure la directrice de Femtovision, Sophie Labbé.
"La technologie Zeiss, c’est le top du top", renchérit Souheil Abdo, orthoptiste salarié de la structure.
Sophie Labbé et Souheil Abdo sont en fait deux anciens du concurrent et voisin Optical Express.
L’histoire n’est pas banale. En 1999, le père de Sophie Labbé, un ophtalmologiste, crée Laser Vision Institut à Nîmes - ainsi que trois antennes à Lyon, Strasbourg, Toulouse.
Un réseau que le groupe Optical Express rachète en 2008, en maintenant Sophie Labbé au poste de responsable marketing. Trois ans après, cette dernière et sa famille, clause de non-concurrence échue, revient aux affaires en créant Femtovision.
Souheil Abdo, l’orthoptiste référent d’Optical Express à Nîmes, est de l’aventure. Dans son sillage, vingt-six ophtalmologistes de Nîmes, la région, mais aussi Paca et Rhône-Alpes, qui opéraient jusque-là à Optical Express, rejoignent eux aussi Femtovision...
Directeur pour la France d’Optical Express, David Mollard reconnaît la difficulté de la situation présente : l’activité de son plateau technique est quasiment réduite à zéro.
Mais convaincu de la qualité de sa propre technologie (Visx) et de son rapport qualité-prix, il parie sur le "long terme", dans un marché français de la chirurgie oculaire au laser appelé, selon lui, à doubler son volume d’activité.
"Il y a de la place pour tout le monde", dit-il fair-play. Cela tombe bien : selon nos informations, un nouveau concurrent a le projet de s’installer à Nîmes.
Midilibre
Ici, quand le patient entre, il a l’impression d’arriver dans une clinique du XVIe arrondissement de Paris", se réjouit un ophtalmologiste qui a choisi d’opérer, désormais, à Femtovision.
Sur ce tout nouveau plateau technique nîmois, grand comme un appartement quatre pièces et à la déco contemporaine, on corrige au laser la myopie, l’astigmatisme, l’hypermétropie et la presbytie.
"On a un matériel unique en Languedoc-Roussillon"
Des interventions, dites de confort, qui permettent d’abandonner ses lunettes ou lentilles.
Inauguré il y a quelques jours, Femtovision est installé au deuxième étage de Villégiales espace santé, près du stade des Costières.
Des fenêtres de la salle d’attente, on a une vue imprenable sur la Polyclinique du Grand Sud (PGS), où le leader européen de la chirurgie oculaire au laser, Optical Express, loue des locaux.
En quelques semaines, Femtovison a ravi toute l’activité d’Optical Express.
"On a un matériel unique en Languedoc-Roussillon", assure la directrice de Femtovision, Sophie Labbé.
"La technologie Zeiss, c’est le top du top", renchérit Souheil Abdo, orthoptiste salarié de la structure.
Sophie Labbé et Souheil Abdo sont en fait deux anciens du concurrent et voisin Optical Express.
L’histoire n’est pas banale. En 1999, le père de Sophie Labbé, un ophtalmologiste, crée Laser Vision Institut à Nîmes - ainsi que trois antennes à Lyon, Strasbourg, Toulouse.
Un réseau que le groupe Optical Express rachète en 2008, en maintenant Sophie Labbé au poste de responsable marketing. Trois ans après, cette dernière et sa famille, clause de non-concurrence échue, revient aux affaires en créant Femtovision.
Souheil Abdo, l’orthoptiste référent d’Optical Express à Nîmes, est de l’aventure. Dans son sillage, vingt-six ophtalmologistes de Nîmes, la région, mais aussi Paca et Rhône-Alpes, qui opéraient jusque-là à Optical Express, rejoignent eux aussi Femtovision...
Directeur pour la France d’Optical Express, David Mollard reconnaît la difficulté de la situation présente : l’activité de son plateau technique est quasiment réduite à zéro.
Mais convaincu de la qualité de sa propre technologie (Visx) et de son rapport qualité-prix, il parie sur le "long terme", dans un marché français de la chirurgie oculaire au laser appelé, selon lui, à doubler son volume d’activité.
"Il y a de la place pour tout le monde", dit-il fair-play. Cela tombe bien : selon nos informations, un nouveau concurrent a le projet de s’installer à Nîmes.
Midilibre
