par Un train de nuit bloqué à Solignac : 360 passagers évacués (Vidéo+photos)
Le trafic ferroviaire entre Toulouse et Paris est fortement perturbé, la panne serait due au froid. Les passagers ont été évacués en car vers la gare de Limoges.
Victime d'une panne, le train Toulouse-Paris est bloqué depuis au mois 4 h du matin, dans la traversée de Solignac, à une dizaine de kilomètres de Limoges.
1 h sans chauffage ?
Par une température de -10 degrés, les 360 passagers ont du attendre jusqu'à 7 h 30 l'arrivée d'une première assistance, dans le froid. La Sncf assure que le chauffage n'a été coupé que 20 minutes, une heure selon certains passagers
Selon un agent Sncf sur place, les gendarmes n'auraient été prévenus que 4 h après la panne. Il craint "un retour sur expérience fumant".
Les services de secours ont distribué des couvertures, avant d'évacuer les passagers vers des cars à destination de la gare de Limoges, où le train devrait être remorqué. Une première tentative de remorquage a échoué ce matin.
Riverains généreux
Les naufragés du rail ont pu bénéficier de la générosité de quelques riverains, qui leur ont offert des boissons chaudes.
L'évacuation s'est déroulée dans le calme. Certains passagers, dormaient en voiture couchette et n'ont découvert l'incident qu'en se réveillant à l'arrivée des secours.
Cette panne occasionne d'importants retards dans la circulation des trains entre le Limousin et Paris : tous les autres trains en provenance de Brive et Toulouse sont bloqués derrière.
Bloquée en gare de Limoges, Annabelle, une voyageuse attendant un autre train retardé, témoigne sur notre page Facebook : "Je peux vous dire que le personnel de la SNCF fait son Max pour les passagers ! Nous avons le droit à une salle chauffer et un petit déjeuner offert café chocolat et viennoiserie."
Selon les premières informations dont nous disposons, cet avarie serait à mettre sur le compte du grand froid qui sévit ce matin en Haute-Vienne (entre -10°C et -12°C). Elle concernerait le système de freinage de la locomotive.
Je rajoute, que l'ADPC 87 ( dont je fais parti ) était sur zone.
Plus d'image ici
Le trafic ferroviaire entre Toulouse et Paris est fortement perturbé, la panne serait due au froid. Les passagers ont été évacués en car vers la gare de Limoges.
Victime d'une panne, le train Toulouse-Paris est bloqué depuis au mois 4 h du matin, dans la traversée de Solignac, à une dizaine de kilomètres de Limoges.
1 h sans chauffage ?
Par une température de -10 degrés, les 360 passagers ont du attendre jusqu'à 7 h 30 l'arrivée d'une première assistance, dans le froid. La Sncf assure que le chauffage n'a été coupé que 20 minutes, une heure selon certains passagers
Selon un agent Sncf sur place, les gendarmes n'auraient été prévenus que 4 h après la panne. Il craint "un retour sur expérience fumant".
Les services de secours ont distribué des couvertures, avant d'évacuer les passagers vers des cars à destination de la gare de Limoges, où le train devrait être remorqué. Une première tentative de remorquage a échoué ce matin.
Riverains généreux
Les naufragés du rail ont pu bénéficier de la générosité de quelques riverains, qui leur ont offert des boissons chaudes.
L'évacuation s'est déroulée dans le calme. Certains passagers, dormaient en voiture couchette et n'ont découvert l'incident qu'en se réveillant à l'arrivée des secours.
Cette panne occasionne d'importants retards dans la circulation des trains entre le Limousin et Paris : tous les autres trains en provenance de Brive et Toulouse sont bloqués derrière.
Bloquée en gare de Limoges, Annabelle, une voyageuse attendant un autre train retardé, témoigne sur notre page Facebook : "Je peux vous dire que le personnel de la SNCF fait son Max pour les passagers ! Nous avons le droit à une salle chauffer et un petit déjeuner offert café chocolat et viennoiserie."
Selon les premières informations dont nous disposons, cet avarie serait à mettre sur le compte du grand froid qui sévit ce matin en Haute-Vienne (entre -10°C et -12°C). Elle concernerait le système de freinage de la locomotive.
Je rajoute, que l'ADPC 87 ( dont je fais parti ) était sur zone.
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