par Un homme grièvement blessé par balles en pleine rue ce matin
Patrick Serra, 52 ans, fiché au grand banditisme, a reçu deux balles - une dans la tête et une dans le ventre - vers 8 h alors qu'il circulait à vélo près de la gare. Il pourrait s'agir d'un règlement de comptes, ce qui est très rare à Montpellier. Le pronostic vital de la victime est engagé.
Un homme fiché au grand banditisme a été très grièvement blessé de plusieurs balles ce jeudi matin peu après 8 h à Montpellier, à l’angle des rues de la République et d’Alger près de la gare, lors d'un probable règlement de comptes.
Patrick Serra, 52 ans, déjà condamné pour trafic de stupéfiants, circulait à vélo non loin lorsqu'il a été touché par deux balles, l'une derrière l'oreille, et l'autre au flanc qui est ressortie. Selon la police, le pronostic vital de la victime est engagé, une information que n'a pas confirmé le parquet de Montpellier.
Quatre coups de feu
Une douzaine d'enquêteurs de la section régionale de la police judiciaire de Montpellier se trouvaient encore sur la scène de l'agression deux heures après les faits.
Selon des témoins, qui ont tenu à conserver l'anonymat, deux hommes dans une voiture de couleur grise ont ouvert le feu sur Patrick Serra à quatre reprises, avant de prendre la fuite. Grièvement blessée, la victime a fait quelque pas, réussissant à traverser la rue, pour trouver refuge dans un hôtel, lequel a appelé les secours, alors que les tueurs prenaient la fuite.
C'est probablement un revolver qui a été utilisé car aucune douille n'a été retrouvée sur les lieux, a précisé une source judiciaire. Il pourrait s'agir d'un calibre 38, a indiqué une autre source. "Ils n'ont pas repéré (les lieux) et pourraient ne pas être montpelliérains. Mais on ne peut préjuger de rien", précise le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin.
Très rare à Montpellier
Une hypothèse sur laquelle travaillent les enquêteurs, car l'agression a été commise dans une rue en travaux, difficile d'accès et ne facilitant donc pas la fuite.
La présence à Montpellier de Patrick Serra n'était pas connue des policiers héraultais, qui soulignent que les règlements de comptes à Montpellier sont très rares. "Je suis là depuis quatre ans et je n'en avais jamais vu", affirme un policier de la direction départementale de la Sécurité publique.
Midilibre
Patrick Serra, 52 ans, fiché au grand banditisme, a reçu deux balles - une dans la tête et une dans le ventre - vers 8 h alors qu'il circulait à vélo près de la gare. Il pourrait s'agir d'un règlement de comptes, ce qui est très rare à Montpellier. Le pronostic vital de la victime est engagé.
Un homme fiché au grand banditisme a été très grièvement blessé de plusieurs balles ce jeudi matin peu après 8 h à Montpellier, à l’angle des rues de la République et d’Alger près de la gare, lors d'un probable règlement de comptes.
Patrick Serra, 52 ans, déjà condamné pour trafic de stupéfiants, circulait à vélo non loin lorsqu'il a été touché par deux balles, l'une derrière l'oreille, et l'autre au flanc qui est ressortie. Selon la police, le pronostic vital de la victime est engagé, une information que n'a pas confirmé le parquet de Montpellier.
Quatre coups de feu
Une douzaine d'enquêteurs de la section régionale de la police judiciaire de Montpellier se trouvaient encore sur la scène de l'agression deux heures après les faits.
Selon des témoins, qui ont tenu à conserver l'anonymat, deux hommes dans une voiture de couleur grise ont ouvert le feu sur Patrick Serra à quatre reprises, avant de prendre la fuite. Grièvement blessée, la victime a fait quelque pas, réussissant à traverser la rue, pour trouver refuge dans un hôtel, lequel a appelé les secours, alors que les tueurs prenaient la fuite.
C'est probablement un revolver qui a été utilisé car aucune douille n'a été retrouvée sur les lieux, a précisé une source judiciaire. Il pourrait s'agir d'un calibre 38, a indiqué une autre source. "Ils n'ont pas repéré (les lieux) et pourraient ne pas être montpelliérains. Mais on ne peut préjuger de rien", précise le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin.
Très rare à Montpellier
Une hypothèse sur laquelle travaillent les enquêteurs, car l'agression a été commise dans une rue en travaux, difficile d'accès et ne facilitant donc pas la fuite.
La présence à Montpellier de Patrick Serra n'était pas connue des policiers héraultais, qui soulignent que les règlements de comptes à Montpellier sont très rares. "Je suis là depuis quatre ans et je n'en avais jamais vu", affirme un policier de la direction départementale de la Sécurité publique.
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