par Les braqueurs en série frappent à Carrefour
L'audace des auteurs de ce vol à main armée, qui seraient jeunes, ne semblent pas avoir de limite. Et de huit ! Un braquage de plus pour ce mois de décembre. Cette fois, c’est la station-service de Carrefour, à Bonne-Source, qui a été attaquée. Il était 19 h 30, samedi soir. L’heure de la fermeture. La caissière quittait sa cabine où elle est plutôt bien protégée pour amener la recette à la caisse centrale, dans la galerie marchande. Elle était alors accompagnée d’un vigile, lorsque, sur le parking, surgissent deux hommes sur une moto, visages dissimulés par un casque. L’un d’eux, armé d’un pistolet, réclame le contenu de la caisse.
Les employés s’exécutent. Ils remettent l’argent, quelques centaines d’euros sans doute. Les braqueurs s’enfuient et percutent une voiture. Ce qui ne les empêche pas de disparaître dans la nuit. L’intervention des policiers, épaulés par des motards de la gendarmerie, n’a pas permis de les retrouver.
Le SRPJ de Perpignan a été saisi du dossier. Ce nouveau hold-up ressemble aux cinq autres qui ont visé depuis le 2 décembre quatre tabacs et une supérette.
Mais rien à voir, visiblement, avec celui du 14 décembre, commis par un gang de “pros” à la bijouterie Diamantor et pas à celui du 17 dont l’auteur présumé, un ado de 13 ans, a été interpellé. Ceux qui viennent encore de frapper, le lendemain du hold-up d’une supérette, semblent jeunes, peut-être même mineurs, et engagés dans une course effrénée au gain “facile” et rapide. Mais sans doute ne mesurent-ils pas les risques encourus ?
Midilibre
L'audace des auteurs de ce vol à main armée, qui seraient jeunes, ne semblent pas avoir de limite. Et de huit ! Un braquage de plus pour ce mois de décembre. Cette fois, c’est la station-service de Carrefour, à Bonne-Source, qui a été attaquée. Il était 19 h 30, samedi soir. L’heure de la fermeture. La caissière quittait sa cabine où elle est plutôt bien protégée pour amener la recette à la caisse centrale, dans la galerie marchande. Elle était alors accompagnée d’un vigile, lorsque, sur le parking, surgissent deux hommes sur une moto, visages dissimulés par un casque. L’un d’eux, armé d’un pistolet, réclame le contenu de la caisse.
Les employés s’exécutent. Ils remettent l’argent, quelques centaines d’euros sans doute. Les braqueurs s’enfuient et percutent une voiture. Ce qui ne les empêche pas de disparaître dans la nuit. L’intervention des policiers, épaulés par des motards de la gendarmerie, n’a pas permis de les retrouver.
Le SRPJ de Perpignan a été saisi du dossier. Ce nouveau hold-up ressemble aux cinq autres qui ont visé depuis le 2 décembre quatre tabacs et une supérette.
Mais rien à voir, visiblement, avec celui du 14 décembre, commis par un gang de “pros” à la bijouterie Diamantor et pas à celui du 17 dont l’auteur présumé, un ado de 13 ans, a été interpellé. Ceux qui viennent encore de frapper, le lendemain du hold-up d’une supérette, semblent jeunes, peut-être même mineurs, et engagés dans une course effrénée au gain “facile” et rapide. Mais sans doute ne mesurent-ils pas les risques encourus ?
Midilibre
