Les bijoutiers 'briefés' à l'approche des fêtes
Braquages, vols par ruse, effractions… Les bijoutiers sont bien malgré eux sous les feux de la rampe. En cause, le cours de l'or qui expose les professionnels à la convoitise des délinquants, particulièrement en cette période où les vitrines se font alléchantes, Noël oblige.
Et si depuis une quinzaine d'années divers plans anti cambriolage ou anti hold-up sont déployés durant les fêtes, depuis deux ans le dispositif est particulièrement accru en raison de la situation économique.
"C'est pourquoi cette année, pour la première fois, l'opération sera poursuivie au-delà des fêtes, afin de couvrir également la période des soldes", a détaillé hier le préfet des P.-O. René Bidal, à l'issue d'une réunion rassemblant forces de l'ordre, chambres consulaires et professionnels de la bijouterie. Des bijoutiers qui, par la voix du président de leur syndicat,
"Rappeler un certain nombre de bons réflexes"
Henry Marchis, ont sollicité une aide financière de l'État pour s'équiper de caméras. Mais, a souligné le préfet, les bijouteries ne sont pas les seules professions ainsi 'ciblées' ; bureaux de tabac, pharmacies et galeries marchandes des grandes surfaces sont également exposés. "C'est pourquoi, outre l'intensification des patrouilles de police et de gendarmerie, il faut rappeler un certain nombre de bons réflexes à l'endroit des professionnels concernés".
Des réflexes principalement préventifs qui sont détaillés dans le guide 'sécurité' édité en partenariat avec la CCI. Et qui s'accompagnent de conseils en cas d'agression. Car la priorité de René Bidal, du directeur départemental de la sécurité publique Jean-François Scoffoni et du colonel Philippe Correoso, commandant le groupement de gendarmerie de Perpignan, c'est avant tout que ni les commerçants ni leurs clients ne s'exposent physiquement en cas d'agression.
Midilibre
Braquages, vols par ruse, effractions… Les bijoutiers sont bien malgré eux sous les feux de la rampe. En cause, le cours de l'or qui expose les professionnels à la convoitise des délinquants, particulièrement en cette période où les vitrines se font alléchantes, Noël oblige.
Et si depuis une quinzaine d'années divers plans anti cambriolage ou anti hold-up sont déployés durant les fêtes, depuis deux ans le dispositif est particulièrement accru en raison de la situation économique.
"C'est pourquoi cette année, pour la première fois, l'opération sera poursuivie au-delà des fêtes, afin de couvrir également la période des soldes", a détaillé hier le préfet des P.-O. René Bidal, à l'issue d'une réunion rassemblant forces de l'ordre, chambres consulaires et professionnels de la bijouterie. Des bijoutiers qui, par la voix du président de leur syndicat,
"Rappeler un certain nombre de bons réflexes"
Henry Marchis, ont sollicité une aide financière de l'État pour s'équiper de caméras. Mais, a souligné le préfet, les bijouteries ne sont pas les seules professions ainsi 'ciblées' ; bureaux de tabac, pharmacies et galeries marchandes des grandes surfaces sont également exposés. "C'est pourquoi, outre l'intensification des patrouilles de police et de gendarmerie, il faut rappeler un certain nombre de bons réflexes à l'endroit des professionnels concernés".
Des réflexes principalement préventifs qui sont détaillés dans le guide 'sécurité' édité en partenariat avec la CCI. Et qui s'accompagnent de conseils en cas d'agression. Car la priorité de René Bidal, du directeur départemental de la sécurité publique Jean-François Scoffoni et du colonel Philippe Correoso, commandant le groupement de gendarmerie de Perpignan, c'est avant tout que ni les commerçants ni leurs clients ne s'exposent physiquement en cas d'agression.
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