En ouvrant ses portes aux patients à partir de la fin décembre, l’établissement hospitalier référent du territoire de santé préserve ses spécialités, mais modernise ses équipements
Le nouvel hôpital Sainte-Musse, qui sera inauguré le 21 novembre, par le Premier ministre François Fillon, n'est, certes, pas un centre hospitalier universitaire (CHU). Mais le Centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne (CHITS), appelé à quitter progressivement dans les six mois à venir, les sites de Font-Pré et Chalucet, n'a pour autant pas à rougir de son équipement biomédical. Certes, il ne va pas surfer sur la vague « de nouvelles activités médicales », consent Nicolas Funel, directeur-adjoint. « On va retrouver les spécialités existantes. »
Mais le nouvel établissement hospitalier référent sur le territoire « change de mode de technologie »en matière de santé. Ce qui, de fait, tendra vers une modification en profondeur de l'organisation du travail dans un nouvel environnement fonctionnel.
Bloc opératoire, imagerie médicale, laboratoire, accueil des urgences renforcé et filières d'urgences dissociées… Ce défi relevé par l'ensemble de la communauté (médicale, administrative, et des personnels), depuis bientôt trois ans, a un prix : 40 millions d'euros d'investissement (équipements biomédicaux et autres).
Défi humain
Le défi sera, aussi, humain avec près de 3 500 agents dont 400 médecins qui devront, dans un laps de temps assez court, « s'approprier leur nouvel établissement. » La surface donne déjà le vertige : 150 000 m² de plateau, soit deux fois le château de Versaille... Pour les personnels, l'entrée dans ce nouvel établissement flambant neuf est, aussi, très attendu. Malgré une réponse voulue rassurante de la direction par une offre de postes supplémentaires, les inquiétudes en besoins humains pour répondre à la bonne prise en charge des patients, ne sont pas totalement dissipées. Coup de projecteur.
Le nouvel hôpital Sainte-Musse, qui sera inauguré le 21 novembre, par le Premier ministre François Fillon, n'est, certes, pas un centre hospitalier universitaire (CHU). Mais le Centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne (CHITS), appelé à quitter progressivement dans les six mois à venir, les sites de Font-Pré et Chalucet, n'a pour autant pas à rougir de son équipement biomédical. Certes, il ne va pas surfer sur la vague « de nouvelles activités médicales », consent Nicolas Funel, directeur-adjoint. « On va retrouver les spécialités existantes. »
Mais le nouvel établissement hospitalier référent sur le territoire « change de mode de technologie »en matière de santé. Ce qui, de fait, tendra vers une modification en profondeur de l'organisation du travail dans un nouvel environnement fonctionnel.
Bloc opératoire, imagerie médicale, laboratoire, accueil des urgences renforcé et filières d'urgences dissociées… Ce défi relevé par l'ensemble de la communauté (médicale, administrative, et des personnels), depuis bientôt trois ans, a un prix : 40 millions d'euros d'investissement (équipements biomédicaux et autres).
Défi humain
Le défi sera, aussi, humain avec près de 3 500 agents dont 400 médecins qui devront, dans un laps de temps assez court, « s'approprier leur nouvel établissement. » La surface donne déjà le vertige : 150 000 m² de plateau, soit deux fois le château de Versaille... Pour les personnels, l'entrée dans ce nouvel établissement flambant neuf est, aussi, très attendu. Malgré une réponse voulue rassurante de la direction par une offre de postes supplémentaires, les inquiétudes en besoins humains pour répondre à la bonne prise en charge des patients, ne sont pas totalement dissipées. Coup de projecteur.