par À Saint-Marcel d’Ardèche , le train percute un chasseur
C’est au cours d’une partie de chasse que l’accident s’est produit. Lundi matin, sur la commune de Saint-Marcel-d’Ardèche, le brouillard est épais. Jean-Claude Court, âgé de 74 ans, accompagné par un autre chasseur, traque le gibier sur le secteur du quartier Bransas. Les deux hommes, sociétaires de l’Acca (association communale de chasse agréée de Saint-Marcel) fréquentent souvent le secteur traversé par une ligne de chemin de fer.
Mais ce jour-là, selon des habitants du village, "on n’y voyait pas à 10 m". Et lorsque vers 11 h, Jean-Claude Court se met à enjamber la voie, malheureusement, il ne voit, ni n’entend arriver le train de voyageurs qui relie Givors à Nîmes. C’est le drame. L’homme est percuté par la machine. Son corps sera retrouvé sans vie par les secours à quelques mètres de là. Heureusement, son compagnon s’en sort indemne. La procédure de freinage d’urgence, déclenchée par le chauffeur du train de voyageurs, n’a pas permis de stopper le train à temps. Ce genre d’accident est plutôt rare dans le secteur où les habitants ont appris à vivre avec la voie ferrée qui traverse certaines terres. Il existe d’ailleurs deux ponts, sous la voie, pour passer d’un côté ou de l’autre.
La victime, originaire de Pierrelatte, était sociétaire de l’Acca de Saint-Marcel depuis plus de vingt ans. Il était père de quatre enfants et grand-père de cinq petits-enfants.
Midilibre
C’est au cours d’une partie de chasse que l’accident s’est produit. Lundi matin, sur la commune de Saint-Marcel-d’Ardèche, le brouillard est épais. Jean-Claude Court, âgé de 74 ans, accompagné par un autre chasseur, traque le gibier sur le secteur du quartier Bransas. Les deux hommes, sociétaires de l’Acca (association communale de chasse agréée de Saint-Marcel) fréquentent souvent le secteur traversé par une ligne de chemin de fer.
Mais ce jour-là, selon des habitants du village, "on n’y voyait pas à 10 m". Et lorsque vers 11 h, Jean-Claude Court se met à enjamber la voie, malheureusement, il ne voit, ni n’entend arriver le train de voyageurs qui relie Givors à Nîmes. C’est le drame. L’homme est percuté par la machine. Son corps sera retrouvé sans vie par les secours à quelques mètres de là. Heureusement, son compagnon s’en sort indemne. La procédure de freinage d’urgence, déclenchée par le chauffeur du train de voyageurs, n’a pas permis de stopper le train à temps. Ce genre d’accident est plutôt rare dans le secteur où les habitants ont appris à vivre avec la voie ferrée qui traverse certaines terres. Il existe d’ailleurs deux ponts, sous la voie, pour passer d’un côté ou de l’autre.
La victime, originaire de Pierrelatte, était sociétaire de l’Acca de Saint-Marcel depuis plus de vingt ans. Il était père de quatre enfants et grand-père de cinq petits-enfants.
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