par Naufrage : un skipper sauvé in extremis
Le skipper du Wimmera se souviendra certainement longtemps de la nuit du 27 au 28 octobre 2011. Peu avant minuit, jeudi, l’homme, seul à bord du voilier de 35 pieds (10,50 m environ) qui venait alors de Marseille, a été pris dans une tempête telle que son navire a démâté, puis chaviré. Et qu’il a fallu la mobilisation de l’équipage de la SNSM, du Dragon 34 et de plusieurs équipes de sapeurs-pompiers, à terre, pour le sortir d’affaire.
Il est 23 h 39, jeudi, quand le canot de la SNSM, alerté par le CrossMed (Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage) appareille avec 11 hommes à bord. Il se dirige vers Frontignan, au niveau du Terminal Frigorifique, où on lui a signalé un chavirage avec un homme à la mer. Dans l’impossibilité de trop s’approcher de la côte, du fait des déferlantes, et de son tirant d’eau, le Marius-Oliveri tente néanmoins de localiser le naufragé. L’équipage y parvient au bout de deux heures de lutte contre les éléments, alors que l’hélicoptère Dragon 34 est également dépêché sur place. Mais vu la situation du naufragé - accroché à la coque de son navire renversé - à quelques dizaines de mètres seulement de la digue, la SNSM ne peut faire mieux que donner des informations aux secours terrestres. Et ce sont finalement les sapeurs-pompiers, dont des plongeurs, venus des casernes de Sète, Agde et Frontignan qui parviennent à récupérer le skipper. Vers 1 h 30 du matin, celui-ci est évacué vers le centre hospitalier du bassin de Thau, forcément commotionné, alors que son navire coule à pic.
Midilibre
Le skipper du Wimmera se souviendra certainement longtemps de la nuit du 27 au 28 octobre 2011. Peu avant minuit, jeudi, l’homme, seul à bord du voilier de 35 pieds (10,50 m environ) qui venait alors de Marseille, a été pris dans une tempête telle que son navire a démâté, puis chaviré. Et qu’il a fallu la mobilisation de l’équipage de la SNSM, du Dragon 34 et de plusieurs équipes de sapeurs-pompiers, à terre, pour le sortir d’affaire.
Il est 23 h 39, jeudi, quand le canot de la SNSM, alerté par le CrossMed (Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage) appareille avec 11 hommes à bord. Il se dirige vers Frontignan, au niveau du Terminal Frigorifique, où on lui a signalé un chavirage avec un homme à la mer. Dans l’impossibilité de trop s’approcher de la côte, du fait des déferlantes, et de son tirant d’eau, le Marius-Oliveri tente néanmoins de localiser le naufragé. L’équipage y parvient au bout de deux heures de lutte contre les éléments, alors que l’hélicoptère Dragon 34 est également dépêché sur place. Mais vu la situation du naufragé - accroché à la coque de son navire renversé - à quelques dizaines de mètres seulement de la digue, la SNSM ne peut faire mieux que donner des informations aux secours terrestres. Et ce sont finalement les sapeurs-pompiers, dont des plongeurs, venus des casernes de Sète, Agde et Frontignan qui parviennent à récupérer le skipper. Vers 1 h 30 du matin, celui-ci est évacué vers le centre hospitalier du bassin de Thau, forcément commotionné, alors que son navire coule à pic.
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