par Le différend entre voisins dégénère : deux blessés
A La Prade, et plus particulièrement dans l’impasse des Prédateurs, qui jouxte la rue des Framboisiers, les relations de voisinage ne semblent pas vraiment au beau fixe.
Pour preuve, la violente altercation qui a opposé un père de famille et ses deux fils de 15 et 20 ans, le 6 octobre dernier, à un ancien adjoint au maire, son fils, et un “solide” militant de l’UMP. En toile de fond, un problème de stationnement récurrent dans cette impasse.
Le jour des faits, vers 20 h 30, le père de famille, qui rentrait de son travail, s’est ainsi retrouvé bloqué et n’a pu rentrer chez lui. Il a donc laissé son véhicule au beau milieu de l’impasse. Jusqu’au moment où l’ancien adjoint, venu chez son ami militant, s’est retrouvé bloqué à son tour pour repartir.
C’est là que le ton est monté et que les versions divergent. D’un côté, le père de famille déclare qu’il a été violemment frappé, ainsi que son plus jeune fils. Des violences qui ont entraîné, respectivement, 15 et 2 jours d’interruption totale de travail (ITT), certificat médical à l’appui. De l’autre côté, le “solide” militant de l’UMP explique qu’il a vu rouge, lorsque sa femme et sa fille de 16 ans ont reçu des coups : "J’assume ce que j’ai fait. On n’a pas à frapper ma femme, ni ma fille. Qu’est-ce qu’il l’a empêché de venir sonner à ma porte ?"
Dès le lendemain des faits, une plainte a été déposée au commissariat par les trois protagonistes de ce différend de voisinage. Pour l’heure, aucune suite n’a été donnée à cette affaire.
Midilibre
A La Prade, et plus particulièrement dans l’impasse des Prédateurs, qui jouxte la rue des Framboisiers, les relations de voisinage ne semblent pas vraiment au beau fixe.
Pour preuve, la violente altercation qui a opposé un père de famille et ses deux fils de 15 et 20 ans, le 6 octobre dernier, à un ancien adjoint au maire, son fils, et un “solide” militant de l’UMP. En toile de fond, un problème de stationnement récurrent dans cette impasse.
Le jour des faits, vers 20 h 30, le père de famille, qui rentrait de son travail, s’est ainsi retrouvé bloqué et n’a pu rentrer chez lui. Il a donc laissé son véhicule au beau milieu de l’impasse. Jusqu’au moment où l’ancien adjoint, venu chez son ami militant, s’est retrouvé bloqué à son tour pour repartir.
C’est là que le ton est monté et que les versions divergent. D’un côté, le père de famille déclare qu’il a été violemment frappé, ainsi que son plus jeune fils. Des violences qui ont entraîné, respectivement, 15 et 2 jours d’interruption totale de travail (ITT), certificat médical à l’appui. De l’autre côté, le “solide” militant de l’UMP explique qu’il a vu rouge, lorsque sa femme et sa fille de 16 ans ont reçu des coups : "J’assume ce que j’ai fait. On n’a pas à frapper ma femme, ni ma fille. Qu’est-ce qu’il l’a empêché de venir sonner à ma porte ?"
Dès le lendemain des faits, une plainte a été déposée au commissariat par les trois protagonistes de ce différend de voisinage. Pour l’heure, aucune suite n’a été donnée à cette affaire.
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