Bretagne : il tue ses deux fillettes et retourne l'arme contre lui
Un père de famille de 37 ans et ses deux fillettes, âgées de 2 et 4 ans, ont été retrouvés morts samedi soir, tués par balles à leur domicile de Sainte-Marie, près de Redon (Ille-et-Vilaine).
Selon les premiers éléments, l'hypothèse du drame familial est privilégiée, l'homme «traversant des difficultés personnelles».
Le père aurait tué ses deux enfants avant de retourner contre lui l'arme, une carabine de chasse dont il était propriétaire.
C'est la mère qui a fait la découverte des corps, en rentrant samedi vers 22h30, avec son fils âgé de 7 ans né d'une première union. Elle raconte avoir d'abord trouvé sur la porte un petit mot lui intimant de ne pas pénétrer dans la maison et de prévenir les gendarmes.
Malgré tout, elle décide d'entrouvrir la porte et voit sang. C'est là qu'elle lance l'alerte. Arrivés sur place une demi-heure plus tard, les gendarmes découvrent alors les trois corps gisant dans la même pièce.
«Il y avait un problème conjugal, avec une séparation qui se profilait, mais aucun élément n'avait laissé présager un tel drame», indique une source. Les voisins ou leurs amis, au courant de ces difficultés relationnelles «sont tous très choqués».
«Ce n'est pas un problème de misère sociale. Tous deux travaillaient, ce sont des gens instruits et qualifiés. C'est un homme qui a perdu la maîtrise de lui-même», ajoutent les enquêteurs.
Située dans un lieu vallonné, la maison était un peu isolée, ce qui explique que les détonations n'ont apparemment pas été entendues par le voisinage.
Leparisien
Un père de famille de 37 ans et ses deux fillettes, âgées de 2 et 4 ans, ont été retrouvés morts samedi soir, tués par balles à leur domicile de Sainte-Marie, près de Redon (Ille-et-Vilaine).
Selon les premiers éléments, l'hypothèse du drame familial est privilégiée, l'homme «traversant des difficultés personnelles».
Le père aurait tué ses deux enfants avant de retourner contre lui l'arme, une carabine de chasse dont il était propriétaire.
C'est la mère qui a fait la découverte des corps, en rentrant samedi vers 22h30, avec son fils âgé de 7 ans né d'une première union. Elle raconte avoir d'abord trouvé sur la porte un petit mot lui intimant de ne pas pénétrer dans la maison et de prévenir les gendarmes.
Malgré tout, elle décide d'entrouvrir la porte et voit sang. C'est là qu'elle lance l'alerte. Arrivés sur place une demi-heure plus tard, les gendarmes découvrent alors les trois corps gisant dans la même pièce.
«Il y avait un problème conjugal, avec une séparation qui se profilait, mais aucun élément n'avait laissé présager un tel drame», indique une source. Les voisins ou leurs amis, au courant de ces difficultés relationnelles «sont tous très choqués».
«Ce n'est pas un problème de misère sociale. Tous deux travaillaient, ce sont des gens instruits et qualifiés. C'est un homme qui a perdu la maîtrise de lui-même», ajoutent les enquêteurs.
Située dans un lieu vallonné, la maison était un peu isolée, ce qui explique que les détonations n'ont apparemment pas été entendues par le voisinage.
Leparisien