par Il agresse et vole la voiture d’une jeune femme
À 25 ans, l’Alésien a déjà 15 mentions à son casier. Principalement pour des vols. Le jeune homme se retrouvait hier devant le tribunal correctionnel d’Alès, en comparution immédiate, pour un vol aggravé par deux circonstances, en réunion et avec violence, le tout en récidive légale.
Le 30 juillet, une jeune Alésienne doit se rendre à Montpellier avec sa voiture et accepte de prendre avec elle une de ses connaissances. Au final, l’homme vient avec un ami à lui pour aller faire la fête à Montpellier.
Dans la soirée, le trio se retrouve sur la plage de Palavas-les-Flots. Tout va bien jusqu’à ce qu’un des passagers décide de subtiliser les clés de la voiture pour la voler. La jeune fille ne se laisse pas dépouiller et prend une giclée de bombe lacrymogène dans les yeux.
Fin août, la voiture sera repérée par la brigade anti criminalité du commissariat d’Alès et l’un des trois occupants interpellé. L’enquête permettra d’identifier les deux Alésiens dont un seul se retrouvait hier devant les magistrats, l’autre étant toujours en fuite.
Le jeune homme reconnaît avoir gazé la victime mais rejette sur son comparse le vol de la voiture. "Je n’ai pas le permis et je ne sais même pas conduire", explique-t-il. Il affirme aux magistrats que, depuis 2008, il s’était tenu tranquille et qu’il s’est laissé entraîner dans cette histoire qui le dépasse. Des affirmations que le procureur, Thierry Lescouarc’h, nuance. Rappelant que le prévenu a été incarcéré jusqu’en 2010 et qu’il récidive donc 9 mois après sa sortie de prison.
Avec une infraction grave qui est punie de 7 ans de prison et même de 14 ans du fait de la récidive. Le ministère public précise également que la voiture a été retrouvée avec un fusil à bord et que le véhicule "a servi dans le quartier à de nombreuses personnes". Une instruction est d’ailleurs ouverte pour faire la lumière sur tous ces faits.
Le procureur requiert la peine plancher de trois ans de prison dont 18 mois avec un sursis assorti d’une mise à l’épreuve pendant 3 ans. Une peine qui n’est pas adaptée, plaide la défense. Me Sadoul souligne que le jeune homme a passé une enfance chaotique entre foyer et famille d’accueil. Que malgré tout, il a décroché un CAP de cuisinier et qu’il devait travailler comme saisonnier avant d’être interpellé. Le tribunal l’a condamné à la peine plancher de 3 ans de prison, dont 2 ans avec un sursis mise à l’épreuve.
Midilibre
À 25 ans, l’Alésien a déjà 15 mentions à son casier. Principalement pour des vols. Le jeune homme se retrouvait hier devant le tribunal correctionnel d’Alès, en comparution immédiate, pour un vol aggravé par deux circonstances, en réunion et avec violence, le tout en récidive légale.
Le 30 juillet, une jeune Alésienne doit se rendre à Montpellier avec sa voiture et accepte de prendre avec elle une de ses connaissances. Au final, l’homme vient avec un ami à lui pour aller faire la fête à Montpellier.
Dans la soirée, le trio se retrouve sur la plage de Palavas-les-Flots. Tout va bien jusqu’à ce qu’un des passagers décide de subtiliser les clés de la voiture pour la voler. La jeune fille ne se laisse pas dépouiller et prend une giclée de bombe lacrymogène dans les yeux.
Fin août, la voiture sera repérée par la brigade anti criminalité du commissariat d’Alès et l’un des trois occupants interpellé. L’enquête permettra d’identifier les deux Alésiens dont un seul se retrouvait hier devant les magistrats, l’autre étant toujours en fuite.
Le jeune homme reconnaît avoir gazé la victime mais rejette sur son comparse le vol de la voiture. "Je n’ai pas le permis et je ne sais même pas conduire", explique-t-il. Il affirme aux magistrats que, depuis 2008, il s’était tenu tranquille et qu’il s’est laissé entraîner dans cette histoire qui le dépasse. Des affirmations que le procureur, Thierry Lescouarc’h, nuance. Rappelant que le prévenu a été incarcéré jusqu’en 2010 et qu’il récidive donc 9 mois après sa sortie de prison.
Avec une infraction grave qui est punie de 7 ans de prison et même de 14 ans du fait de la récidive. Le ministère public précise également que la voiture a été retrouvée avec un fusil à bord et que le véhicule "a servi dans le quartier à de nombreuses personnes". Une instruction est d’ailleurs ouverte pour faire la lumière sur tous ces faits.
Le procureur requiert la peine plancher de trois ans de prison dont 18 mois avec un sursis assorti d’une mise à l’épreuve pendant 3 ans. Une peine qui n’est pas adaptée, plaide la défense. Me Sadoul souligne que le jeune homme a passé une enfance chaotique entre foyer et famille d’accueil. Que malgré tout, il a décroché un CAP de cuisinier et qu’il devait travailler comme saisonnier avant d’être interpellé. Le tribunal l’a condamné à la peine plancher de 3 ans de prison, dont 2 ans avec un sursis mise à l’épreuve.
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