Gendarmerie : un petit bolide au service de la Brigade rapide d’intervention
Jusqu’à présent, elle s’est faite plutôt discrète. Ça ne va pas durer. Dix jours à peine après son entrée en service au sein de la Brigade rapide d’intervention de la gendarmerie nationale, le Renault Mégane RS 300 - les spécialistes apprécieront - pointe le bout de son capot. Certains l’ont bien aperçue en villégiature du côté d’Aguessac mais c’est sur l’A 75, de sa base de Saint-Germain, qu’elle va user ces larges pneus.
Présenté officiellement hier à la presse, le bolide aura trois missions essentielles. La première résume à elle seule toutes les infractions routières (grands excès de vitesse, dépassement par la droite, présence d’un véhicule sur la file de gauche en continu, non-respect des distances et stationnement sur la bande d’arrêt d’urgence).
Les deux autres n’ont en commun que la vitesse d’exécution : la lutte contre les go fast (ces véhicules rapides qui transportent drogues et trafiquants) et le transfert d’organes.
Pour mener à bien toutes ces opérations, trois pilotes, l’adjudant Charles et les gendarmes Cavalerie et Aubeneau, ont été spécialement formés. Ils seront les seuls, quoi qu’il arrive, à pouvoir se glisser dans le baquet de gauche. À tous ceux qui souhaiteraient tester le potentiel et la vélocité de la machine, voici quelques caractéristiques à prendre en compte sans attendre.
La Mégane RS 300 atteint les 100 km/h en 5” 9, les 200 km/h en 21” et les 270 km/h à peu près quand elle le veut. C’est une deux roues motrices chargé d’un moteur 2 litres essence 16v turbo (Mitsubishi), quatre cylindres en ligne affichant 272 ch. Bref, elle devrait faire oublier rapidement la Subaru qui œuvrait depuis cinq ans.
Midilibre
Jusqu’à présent, elle s’est faite plutôt discrète. Ça ne va pas durer. Dix jours à peine après son entrée en service au sein de la Brigade rapide d’intervention de la gendarmerie nationale, le Renault Mégane RS 300 - les spécialistes apprécieront - pointe le bout de son capot. Certains l’ont bien aperçue en villégiature du côté d’Aguessac mais c’est sur l’A 75, de sa base de Saint-Germain, qu’elle va user ces larges pneus.
Présenté officiellement hier à la presse, le bolide aura trois missions essentielles. La première résume à elle seule toutes les infractions routières (grands excès de vitesse, dépassement par la droite, présence d’un véhicule sur la file de gauche en continu, non-respect des distances et stationnement sur la bande d’arrêt d’urgence).
Les deux autres n’ont en commun que la vitesse d’exécution : la lutte contre les go fast (ces véhicules rapides qui transportent drogues et trafiquants) et le transfert d’organes.
Pour mener à bien toutes ces opérations, trois pilotes, l’adjudant Charles et les gendarmes Cavalerie et Aubeneau, ont été spécialement formés. Ils seront les seuls, quoi qu’il arrive, à pouvoir se glisser dans le baquet de gauche. À tous ceux qui souhaiteraient tester le potentiel et la vélocité de la machine, voici quelques caractéristiques à prendre en compte sans attendre.
La Mégane RS 300 atteint les 100 km/h en 5” 9, les 200 km/h en 21” et les 270 km/h à peu près quand elle le veut. C’est une deux roues motrices chargé d’un moteur 2 litres essence 16v turbo (Mitsubishi), quatre cylindres en ligne affichant 272 ch. Bref, elle devrait faire oublier rapidement la Subaru qui œuvrait depuis cinq ans.
Midilibre