par En BMW, ivre et... à 218 km/h sur l'A9 !
La brigade rapide d’intervention (BRI) de Poussan est partie aux trousses d’une BMW330 D lancée comme une “bombe” sur l’A9, entre Montpellier et Béziers, dimanche dernier, au petit matin, puisque le conducteur a été flashé à 218 km/h...
Les gendarmes ont utilisé leur fameuse Mégane RS pour traquer ce délinquant de la route qui, dans un premier temps, n’a pas voulu s’arrêter. L’automobiliste, âgé de 26 ans et demeurant à Béziers, a finalement été intercepté et la BRI s’est aperçue qu’il était en état d’ivresse... Il a ainsi été dépisté avec un taux de 1,36 g d’alcool dans le sang. En fait, ce n’était pas sa BMW mais celle d’un ami qui dormait à l’arrière du véhicule, lui aussi imbibé d’alcool après une soirée en discothèque.
Le conducteur a été placé en garde à vue puis remis en liberté avec une convocation en justice. En attendant, le permis de ce chauffeur routier lui a été retiré pour six mois.
"On effectue près de 200 contrôles par semaine sur tout le réseau héraultais, rappelle le chef d’escadron Petit, qui commande l’escadron départemental de sécurité routière. Les mauvais conducteurs seront recherchés activement."
Midilibre
La brigade rapide d’intervention (BRI) de Poussan est partie aux trousses d’une BMW330 D lancée comme une “bombe” sur l’A9, entre Montpellier et Béziers, dimanche dernier, au petit matin, puisque le conducteur a été flashé à 218 km/h...
Les gendarmes ont utilisé leur fameuse Mégane RS pour traquer ce délinquant de la route qui, dans un premier temps, n’a pas voulu s’arrêter. L’automobiliste, âgé de 26 ans et demeurant à Béziers, a finalement été intercepté et la BRI s’est aperçue qu’il était en état d’ivresse... Il a ainsi été dépisté avec un taux de 1,36 g d’alcool dans le sang. En fait, ce n’était pas sa BMW mais celle d’un ami qui dormait à l’arrière du véhicule, lui aussi imbibé d’alcool après une soirée en discothèque.
Le conducteur a été placé en garde à vue puis remis en liberté avec une convocation en justice. En attendant, le permis de ce chauffeur routier lui a été retiré pour six mois.
"On effectue près de 200 contrôles par semaine sur tout le réseau héraultais, rappelle le chef d’escadron Petit, qui commande l’escadron départemental de sécurité routière. Les mauvais conducteurs seront recherchés activement."
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