Les habitants du centre-ville de Morcenx, du côté de la rue Salengro, ont pu avoir jeudi dernier, en soirée, quelques frayeurs lorsqu'ils ont vu débouler, toutes sirènes hurlantes, l'ambulance (VSAB) et le fourgon pompe tonne (FPTSR) des pompiers, d'autant qu'une épaisse fumée s'échappait de la fenêtre d'un appartement situé au troisième étage de l'immeuble de la Caisse d'épargne.
Heureusement, il ne s'agissait là que d'une manœuvre, en condition réelle, destinée à tester la réactivité des sapeurs, mise sur pied par le major Patrick Busquet, chef du pôle de Morcenx, avec la « complicité » de l'occupant de l'appartement.
En conditions réelles
Comme le soulignait le major Busquet, « il est intéressant et instructif de pouvoir tester les réactions des hommes en conditions réelles, d'autant que les interventions pour feux de maison et d'appartement ne représentent qu'une quantité infime des interventions des pompiers. »
Là, les pompiers, tous volontaires (après 19 h 30, ils prennent le relais des pompiers professionnels), qui avaient répondu à l'appel du Codis 40 (le centre d'alerte situé à Mont-de-Marsan) ont mis en application les gestes appris : reconnaissance des lieux, évacuation des victimes, établissement des tuyaux d'eau et attaque du feu, sous l'œil attentif du major Busquet et de Laurent Brieux, responsable des pompiers volontaires. Une fois le « sinistre » maîtrisé, il ne restait alors qu'à effectuer un « débriefing » afin de retirer les enseignements d'une telle manœuvre, avec, comme perspective, d'améliorer encore et toujours l'efficacité des soldats du feu.
SUDOUEST
Heureusement, il ne s'agissait là que d'une manœuvre, en condition réelle, destinée à tester la réactivité des sapeurs, mise sur pied par le major Patrick Busquet, chef du pôle de Morcenx, avec la « complicité » de l'occupant de l'appartement.
En conditions réelles
Comme le soulignait le major Busquet, « il est intéressant et instructif de pouvoir tester les réactions des hommes en conditions réelles, d'autant que les interventions pour feux de maison et d'appartement ne représentent qu'une quantité infime des interventions des pompiers. »
Là, les pompiers, tous volontaires (après 19 h 30, ils prennent le relais des pompiers professionnels), qui avaient répondu à l'appel du Codis 40 (le centre d'alerte situé à Mont-de-Marsan) ont mis en application les gestes appris : reconnaissance des lieux, évacuation des victimes, établissement des tuyaux d'eau et attaque du feu, sous l'œil attentif du major Busquet et de Laurent Brieux, responsable des pompiers volontaires. Une fois le « sinistre » maîtrisé, il ne restait alors qu'à effectuer un « débriefing » afin de retirer les enseignements d'une telle manœuvre, avec, comme perspective, d'améliorer encore et toujours l'efficacité des soldats du feu.
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