par Un accident trafiqué pour de vrais pompiers
Un mini-bus dégringole à pleine vitesse dans un ravin. Il s’écrase quinze mètres plus bas. À son bord, trois personnes sont grièvement blessées. Il faut donc agir. Et vite. Ce scénario, hélas tout à fait plausible dans nos régions, c’est celui que les responsables du centre de secours de Millau ont imaginé et réservé à une quinzaine de sapeurs-pompiers volontaires.
De nombreux curieux l’ont suivi, pensant logiquement qu’il s’agissait d’un grave accident. "On fait des exercices de ce genre environ une fois par mois. Ils nous permettent de mettre en situation nos hommes, de vérifier si les procédures de sécurité sont respectées et de corriger les erreurs éventuelles", explique l’adjudant-chef Nicolas Muret.
À l’initiative de la manœuvre avec le sergent Dominique Juville, l’officier millavois a pris le temps d’analyser le moindre geste de son équipage dans des conditions périlleuses, de l’alerte donnée au Codis à la phase délicate de désincarcération des victimes, sans oublier leur évacuation finale sur une "planche d’olivier" réalisée à l’aide d’une main-courante installée au milieu de la végétation. On n’a pas assisté au débriefing mais juré, on est reparti des lieux rassurés...
Midilibre
Un mini-bus dégringole à pleine vitesse dans un ravin. Il s’écrase quinze mètres plus bas. À son bord, trois personnes sont grièvement blessées. Il faut donc agir. Et vite. Ce scénario, hélas tout à fait plausible dans nos régions, c’est celui que les responsables du centre de secours de Millau ont imaginé et réservé à une quinzaine de sapeurs-pompiers volontaires.
De nombreux curieux l’ont suivi, pensant logiquement qu’il s’agissait d’un grave accident. "On fait des exercices de ce genre environ une fois par mois. Ils nous permettent de mettre en situation nos hommes, de vérifier si les procédures de sécurité sont respectées et de corriger les erreurs éventuelles", explique l’adjudant-chef Nicolas Muret.
À l’initiative de la manœuvre avec le sergent Dominique Juville, l’officier millavois a pris le temps d’analyser le moindre geste de son équipage dans des conditions périlleuses, de l’alerte donnée au Codis à la phase délicate de désincarcération des victimes, sans oublier leur évacuation finale sur une "planche d’olivier" réalisée à l’aide d’une main-courante installée au milieu de la végétation. On n’a pas assisté au débriefing mais juré, on est reparti des lieux rassurés...
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