par Feu d’appartement à Langogne : cinq personnes ont été évacuées
Il était 2 heures du matin dans la nuit de mercredi à hier lorsque le propriétaire d’une villa du lotissement des Hauts de Bel Air, sur la commune de Langogne, s’est rendu compte qu’un feu s’était déclaré dans un appartement de plus de 100 m2, situé en contrebas, au 7 impasse Bel Air. L’habitation se situe au premier étage, dans un ancien ensemble hôtelier désaffecté divisé en deux parties avec une partie habité, l’autre pas.
Alertant aussitôt les sapeurs-pompiers, l’homme a évité le pire car les appartements contigus ont en effet échappé au sinistre. L’incendie, qui n’a pas fait de victime, a été maîtrisé au bout de deux heures d’efforts par les soldats du feu de Langogne, Châteauneuf-de-Randon, Pradelles et de Mende qui ont évacué cinq personnes. Au total, une trentaine d’hommes ont été mobilisés, sous la direction du sergent-chef Bruno Martin ayant mobilisé la grande échelle de la caserne de Mende, deux engins de lutte contre le feu langonais, un fourgon compresseur et une ambulance.
L’appartement étant inoccupé, sans meuble, et le propriétaire étant absent, les sapeurs ont fracturé la porte d’entrée de l’immeuble et celle de l’appartement. Ils ont fait évacuer les locataires des logements proches en pleine nuit, une expérience que Florence et Jeannine, pas trop choquées mais plutôt rassurées par "le professionnalisme et la gentillesse des intervenants", prennent avec philosophie : "Nous avons entendu des cris, on croyait à du tapage nocturne dans le square en dessous, on n’a pas vraiment réalisé la gravité du sinistre. Il n’y a pas de victimes ni trop de dégâts, c’est le principal".
Offrant le café à ses "sauveurs", Jeannine, insomniaque, tirée d’une émission culturelle à la télé vers 2 heures, a reconnu qu’elle n’a rien vu, rien entendu, mais "j’ai bien eu de la chance d’avoir près de moi des voisins qui veillent tard, et des pompiers efficaces et adorables !".
L’origine de cet incendie reste indéterminée, l’enquête menée par les gendarmes de la communauté de brigades de Langogne est en cours. À noter enfin qu’un technicien de l’identification criminelle était présent sur les lieux hier.
Midilibre
Il était 2 heures du matin dans la nuit de mercredi à hier lorsque le propriétaire d’une villa du lotissement des Hauts de Bel Air, sur la commune de Langogne, s’est rendu compte qu’un feu s’était déclaré dans un appartement de plus de 100 m2, situé en contrebas, au 7 impasse Bel Air. L’habitation se situe au premier étage, dans un ancien ensemble hôtelier désaffecté divisé en deux parties avec une partie habité, l’autre pas.
Alertant aussitôt les sapeurs-pompiers, l’homme a évité le pire car les appartements contigus ont en effet échappé au sinistre. L’incendie, qui n’a pas fait de victime, a été maîtrisé au bout de deux heures d’efforts par les soldats du feu de Langogne, Châteauneuf-de-Randon, Pradelles et de Mende qui ont évacué cinq personnes. Au total, une trentaine d’hommes ont été mobilisés, sous la direction du sergent-chef Bruno Martin ayant mobilisé la grande échelle de la caserne de Mende, deux engins de lutte contre le feu langonais, un fourgon compresseur et une ambulance.
L’appartement étant inoccupé, sans meuble, et le propriétaire étant absent, les sapeurs ont fracturé la porte d’entrée de l’immeuble et celle de l’appartement. Ils ont fait évacuer les locataires des logements proches en pleine nuit, une expérience que Florence et Jeannine, pas trop choquées mais plutôt rassurées par "le professionnalisme et la gentillesse des intervenants", prennent avec philosophie : "Nous avons entendu des cris, on croyait à du tapage nocturne dans le square en dessous, on n’a pas vraiment réalisé la gravité du sinistre. Il n’y a pas de victimes ni trop de dégâts, c’est le principal".
Offrant le café à ses "sauveurs", Jeannine, insomniaque, tirée d’une émission culturelle à la télé vers 2 heures, a reconnu qu’elle n’a rien vu, rien entendu, mais "j’ai bien eu de la chance d’avoir près de moi des voisins qui veillent tard, et des pompiers efficaces et adorables !".
L’origine de cet incendie reste indéterminée, l’enquête menée par les gendarmes de la communauté de brigades de Langogne est en cours. À noter enfin qu’un technicien de l’identification criminelle était présent sur les lieux hier.
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