Arrêtée pour la 73e fois après l'incendie d'un studio
Ce sont des habitants du quartier des Gares à la recherche de leur matou qui, dans la nuit de mardi à mercredi, ont donné l’alerte. Au numéro 12 de l’avenue du Pont-Juvénal, ils ont aperçu un halo de lumière dans un studio en rez-de-chaussée.
En s’approchant, ils ont remarqué qu’un tas de papiers et de tissus, positionné au pied d’un lit, se consumait alors qu’une femme était occupée à emporter des affaires. S’apprêtant, visiblement, à quitter la place.
Prévenus, policiers et sapeurs-pompiers ont convergé à cette adresse et ont découvert que le foyer était en train de ravager le logement . La suspecte a été rapidement retrouvée et interpellée. Puis, pour la 73e fois, elle a fini sa nuit au commissariat central, où elle est (très défavorablement) connue. Et dont le dernier passage remontait à vendredi dernier pour une affaire de vol à l’étalage.
Mais cette fois, cette Montpelliéraine âgée de 35 ans, enceinte de quatre mois, a tout bonnement refusé l’extraction de sa geôle de garde à vue pour être auditionnée. Et expliquer sa présence dans le studio de son compagnon, absent puisqu’en vacances. Tout comme elle a refusé d’être vue par un médecin ou assistée d’un avocat.
Prévenu, le parquet a alors décidé de l’entendre directement. Ce que la trentenaire aurait finalement accepté. Mais un problème de temps a contrecarré cette entrevue.
Le parquet a alors demandé aux policiers de faire appel à un psychiatre, histoire de jauger de l’état psychique de la future mère. Là encore, cette dernière a refusé tout net.
Bilan de ces heures perdues en vaine procédure pour les policiers de la brigade criminelle de la sûreté départementale ? De guerre lasse et faute d’avoir obtenu des aveux, la trentenaire a fini par être relâchée. Ou le fumeux épilogue d’une affaire qui aura fait... long feu ! Il y a des jours comme ça...
Midilibre
Ce sont des habitants du quartier des Gares à la recherche de leur matou qui, dans la nuit de mardi à mercredi, ont donné l’alerte. Au numéro 12 de l’avenue du Pont-Juvénal, ils ont aperçu un halo de lumière dans un studio en rez-de-chaussée.
En s’approchant, ils ont remarqué qu’un tas de papiers et de tissus, positionné au pied d’un lit, se consumait alors qu’une femme était occupée à emporter des affaires. S’apprêtant, visiblement, à quitter la place.
Prévenus, policiers et sapeurs-pompiers ont convergé à cette adresse et ont découvert que le foyer était en train de ravager le logement . La suspecte a été rapidement retrouvée et interpellée. Puis, pour la 73e fois, elle a fini sa nuit au commissariat central, où elle est (très défavorablement) connue. Et dont le dernier passage remontait à vendredi dernier pour une affaire de vol à l’étalage.
Mais cette fois, cette Montpelliéraine âgée de 35 ans, enceinte de quatre mois, a tout bonnement refusé l’extraction de sa geôle de garde à vue pour être auditionnée. Et expliquer sa présence dans le studio de son compagnon, absent puisqu’en vacances. Tout comme elle a refusé d’être vue par un médecin ou assistée d’un avocat.
Prévenu, le parquet a alors décidé de l’entendre directement. Ce que la trentenaire aurait finalement accepté. Mais un problème de temps a contrecarré cette entrevue.
Le parquet a alors demandé aux policiers de faire appel à un psychiatre, histoire de jauger de l’état psychique de la future mère. Là encore, cette dernière a refusé tout net.
Bilan de ces heures perdues en vaine procédure pour les policiers de la brigade criminelle de la sûreté départementale ? De guerre lasse et faute d’avoir obtenu des aveux, la trentenaire a fini par être relâchée. Ou le fumeux épilogue d’une affaire qui aura fait... long feu ! Il y a des jours comme ça...
Midilibre