par Le feu se déclare à la société Aquapolis
Ce sont les gendarmes, en patrouille dans le secteur, qui ont donné l'alerte hier à 15 h 45 après avoir aperçu de la fumée aux abords des établissements Aquapolis, le long de la D900 à Pia. Sans même que les trois employés qui se trouvaient à l'intérieur se soient aperçus de quoi que ce soit. Aussitôt, le personnel a été évacué alors que l'incendie, qui s'est déclaré à l'extérieur, dans des débris situés à l'arrière, pénétrait dans le bâtiment, dégageant d'épaisses fumées noires.
Au total, 50 sapeurs-pompiers ont été engagés sur les lieux, renforcés par 8 véhicules, la grande échelle et la cellule spécialisée dans les risques chimiques pour vérifier la toxicité des émanations, au vu de la nature des produits utilisés par l'entreprise. Mais le danger a été rapidement écarté. Seuls 1 500 kilos de chlore se trouvaient entreposés dans cette partie de la société, et ne se trouvaient pas directement menacés par les flammes, tenues à bonne distance par les secours.
Au total, le sinistre, qui a été maîtrisé vers 18 heures, a détruit 50 m2 de matériel à l'extérieur, 150 m2 dans l'entrepôt où étaient stockés les jacuzzis et a noirci la totalité du bâtiment.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes pour déterminer l'origine exacte de cet incendie. "On est vraiment ennuyé mais l'essentiel est qu'il n'y a pas de blessé et je pense qu'il n'y aura pas de chômage technique. Les salariés qui étaient là, vont partir en vacances. Les autres y sont déjà jusqu'à fin août. Puis la saison est presque finie, expliquait le patron Norbert Combes, revenu en urgence. Reste à voir si la structure a été touchée. Et puis il faudra au moins 15 jours à 3 semaines pour tout nettoyer et enlever la suie."
Midilibre
Ce sont les gendarmes, en patrouille dans le secteur, qui ont donné l'alerte hier à 15 h 45 après avoir aperçu de la fumée aux abords des établissements Aquapolis, le long de la D900 à Pia. Sans même que les trois employés qui se trouvaient à l'intérieur se soient aperçus de quoi que ce soit. Aussitôt, le personnel a été évacué alors que l'incendie, qui s'est déclaré à l'extérieur, dans des débris situés à l'arrière, pénétrait dans le bâtiment, dégageant d'épaisses fumées noires.
Au total, 50 sapeurs-pompiers ont été engagés sur les lieux, renforcés par 8 véhicules, la grande échelle et la cellule spécialisée dans les risques chimiques pour vérifier la toxicité des émanations, au vu de la nature des produits utilisés par l'entreprise. Mais le danger a été rapidement écarté. Seuls 1 500 kilos de chlore se trouvaient entreposés dans cette partie de la société, et ne se trouvaient pas directement menacés par les flammes, tenues à bonne distance par les secours.
Au total, le sinistre, qui a été maîtrisé vers 18 heures, a détruit 50 m2 de matériel à l'extérieur, 150 m2 dans l'entrepôt où étaient stockés les jacuzzis et a noirci la totalité du bâtiment.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes pour déterminer l'origine exacte de cet incendie. "On est vraiment ennuyé mais l'essentiel est qu'il n'y a pas de blessé et je pense qu'il n'y aura pas de chômage technique. Les salariés qui étaient là, vont partir en vacances. Les autres y sont déjà jusqu'à fin août. Puis la saison est presque finie, expliquait le patron Norbert Combes, revenu en urgence. Reste à voir si la structure a été touchée. Et puis il faudra au moins 15 jours à 3 semaines pour tout nettoyer et enlever la suie."
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