par Le bateau coule, cinq plaisanciers sauvés
Une voie d’eau au large : la hantise de tous marins. C’est la mésaventure qui est arrivée, hier matin, à cinq plaisanciers alors que, à bord d’un bateau à moteur, ils se trouvaient à moins d’un mille de la plage de la Vieille Nouvelle entre Gruissan et Port-la-Nouvelle. Par chance, un hélicoptère de l’armée se trouvait justement dans les parages. Et a rapidement donné l’alerte.
Le Crossmed (Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage en Méditerranée) a supervisé les secours. Deux canots pneumatiques de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) ont récupéré, sains et saufs, les plaisanciers qui sont Nouvellois. Un bateau qui se trouvait dans les parages a également rallié les lieux. Puis, deux puissants remorqueurs de la Société nouvelloise de remorquage ont tenté, à l’aide de solides sangles, d’empêcher le naufrage. Sans succès.
L’embarcation a sombré et s’est posée sur le fond profond de quelques mètres. Seule la partie haute dépassait du niveau de la mer, constituant un obstacle pour la navigation. Aussi, après avoir colmaté la brèche, une équipe de sapeurs-pompiers plongeurs, menée par le lieutenant Jean-Pierre Cires, a installé une signalisation. Mais aussi un barrage flottant en prévision d’une éventuelle pollution aux hydrocarbures.
Midilibre
Une voie d’eau au large : la hantise de tous marins. C’est la mésaventure qui est arrivée, hier matin, à cinq plaisanciers alors que, à bord d’un bateau à moteur, ils se trouvaient à moins d’un mille de la plage de la Vieille Nouvelle entre Gruissan et Port-la-Nouvelle. Par chance, un hélicoptère de l’armée se trouvait justement dans les parages. Et a rapidement donné l’alerte.
Le Crossmed (Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage en Méditerranée) a supervisé les secours. Deux canots pneumatiques de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) ont récupéré, sains et saufs, les plaisanciers qui sont Nouvellois. Un bateau qui se trouvait dans les parages a également rallié les lieux. Puis, deux puissants remorqueurs de la Société nouvelloise de remorquage ont tenté, à l’aide de solides sangles, d’empêcher le naufrage. Sans succès.
L’embarcation a sombré et s’est posée sur le fond profond de quelques mètres. Seule la partie haute dépassait du niveau de la mer, constituant un obstacle pour la navigation. Aussi, après avoir colmaté la brèche, une équipe de sapeurs-pompiers plongeurs, menée par le lieutenant Jean-Pierre Cires, a installé une signalisation. Mais aussi un barrage flottant en prévision d’une éventuelle pollution aux hydrocarbures.
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