par Deux morts et six blessés dans un terrible choc
Vision d’horreur sur la route de Perpignan hier. Un fourgon blanc couché sur le flanc près du panneau “Narbonne”. 20 m plus loin, une voiture rouge dont le côté droit est entièrement défoncé. Et, de chaque côté de la Peugeot 106, deux corps sans vie, allongés sur le sol et protégés des regards par un drap blanc. Un fourgon mortuaire attend que l’expert accidentologue, Christian Rouquand, effectue ses dernières constatations pour les emporter...
Il est 18 h 30. L’agitation s’est estompée. Les six autres personnes impliquées dans l’accident survenu à 16 h 50 entre le giratoire Renault et le pont de l’autoroute A61, ont été prises en charge par une vingtaine de sapeurs-pompiers. Leur diagnostic médical va des blessures graves avec divers traumatismes au simple état de choc.
Quelques minutes plus tôt, venant sans doute d’apprendre le drame, une jeune femme blonde s’était précipitée en hurlant : "Mon fils, mon père et ma mère !". Avant de s’effondrer dans les bras d’une policière. Le commandant de police Martinez reste très prudent quant aux circonstances : "Apparemment l’utilitaire se dirigeait vers le centre-ville. La voiture allait dans le sens inverse et doublait. Le fourgon aurait - je dis bien aurait - fait un écart. La voiture a essayé de l’éviter, mais elle a été percutée sur son flanc droit. Flanc droit où se trouvaient les deux morts". Si les passagers de l’utilitaire, appartenant à une entreprise de pose de carrelage de Prat-de-Cest, sont identifiés, ce n’était pas le cas avec certitude à l’heure où nous écrivons ces lignes pour les autres victimes, notamment les deux hommes décédés.
Midilibre
Vision d’horreur sur la route de Perpignan hier. Un fourgon blanc couché sur le flanc près du panneau “Narbonne”. 20 m plus loin, une voiture rouge dont le côté droit est entièrement défoncé. Et, de chaque côté de la Peugeot 106, deux corps sans vie, allongés sur le sol et protégés des regards par un drap blanc. Un fourgon mortuaire attend que l’expert accidentologue, Christian Rouquand, effectue ses dernières constatations pour les emporter...
Il est 18 h 30. L’agitation s’est estompée. Les six autres personnes impliquées dans l’accident survenu à 16 h 50 entre le giratoire Renault et le pont de l’autoroute A61, ont été prises en charge par une vingtaine de sapeurs-pompiers. Leur diagnostic médical va des blessures graves avec divers traumatismes au simple état de choc.
Quelques minutes plus tôt, venant sans doute d’apprendre le drame, une jeune femme blonde s’était précipitée en hurlant : "Mon fils, mon père et ma mère !". Avant de s’effondrer dans les bras d’une policière. Le commandant de police Martinez reste très prudent quant aux circonstances : "Apparemment l’utilitaire se dirigeait vers le centre-ville. La voiture allait dans le sens inverse et doublait. Le fourgon aurait - je dis bien aurait - fait un écart. La voiture a essayé de l’éviter, mais elle a été percutée sur son flanc droit. Flanc droit où se trouvaient les deux morts". Si les passagers de l’utilitaire, appartenant à une entreprise de pose de carrelage de Prat-de-Cest, sont identifiés, ce n’était pas le cas avec certitude à l’heure où nous écrivons ces lignes pour les autres victimes, notamment les deux hommes décédés.
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