L'enquête sur la collision mortelle entre une voiture et un train jeudi soir se poursuit. Le conducteur décédé présentait un fort taux d'alcoolémie.
L'annonce du décès d'Alain Marcillaud, jeudi soir, à Chalais (1) dans une collision avec le train Limoges-Périgueux a attristé de nombreuses personnes dans les communes environnantes et à La Coquille où il vivait.
Cet homme de 55 ans travaillait au centre Paul-Wilheim, de Saint-Jory-de-Chalais, comme cuisinier et était un ancien sapeur-pompier volontaire du centre de secours de La Coquille. Décrit comme « discret » et « très apprécié », il était impliqué dans la vie locale.
Du côté des pompiers, l'émotion était également forte, d'autant que ce sont d'anciens camarades de la victime qui sont intervenus sur l'accident jeudi soir.
Il n'a pas freiné et avait bu
« Alain Marcillaud était retraité depuis peu, il avait atteint la limite d'âge. Il avait reçu deux médailles », indique le commandant Pierre Naboulet, du service départemental d'incendie et de secours (Sdis).
Du côté de l'enquête menée par la brigade de recherches de Nontron et la brigade de Thiviers, il apparaît que la voiture d'Alain Marcillaud a franchi les barrières de sécurité qui étaient baissées au moment du passage du train. C'est donc le véhicule qui a percuté latéralement les derniers wagons.
Le conducteur du train ne s'était d'ailleurs pas aperçu de la collision et a été alerté par des voyageurs.
Au moment de l'impact, vers 21 h 20, Alain Marcillaud circulait sur une route qu'il connaissait bien, puisque c'était son trajet entre son travail et son domicile. Il semble qu'il n'ait pas freiné. Toutes les hypothèses sont envisagées par les enquêteurs mais le taux d'alcoolémie de 2,93 g d'alcool par litre de sang, révélé hier après analyse, montre que ses réflexes de conducteur étaient altérés.
(1) Pour l'Insee, la commune de Chalais s'écrit Chaleix, mais la mairie revendique la graphie Chalais comme celle de Saint-Jory-de-Chalais.
SUDOUEST
L'annonce du décès d'Alain Marcillaud, jeudi soir, à Chalais (1) dans une collision avec le train Limoges-Périgueux a attristé de nombreuses personnes dans les communes environnantes et à La Coquille où il vivait.
Cet homme de 55 ans travaillait au centre Paul-Wilheim, de Saint-Jory-de-Chalais, comme cuisinier et était un ancien sapeur-pompier volontaire du centre de secours de La Coquille. Décrit comme « discret » et « très apprécié », il était impliqué dans la vie locale.
Du côté des pompiers, l'émotion était également forte, d'autant que ce sont d'anciens camarades de la victime qui sont intervenus sur l'accident jeudi soir.
Il n'a pas freiné et avait bu
« Alain Marcillaud était retraité depuis peu, il avait atteint la limite d'âge. Il avait reçu deux médailles », indique le commandant Pierre Naboulet, du service départemental d'incendie et de secours (Sdis).
Du côté de l'enquête menée par la brigade de recherches de Nontron et la brigade de Thiviers, il apparaît que la voiture d'Alain Marcillaud a franchi les barrières de sécurité qui étaient baissées au moment du passage du train. C'est donc le véhicule qui a percuté latéralement les derniers wagons.
Le conducteur du train ne s'était d'ailleurs pas aperçu de la collision et a été alerté par des voyageurs.
Au moment de l'impact, vers 21 h 20, Alain Marcillaud circulait sur une route qu'il connaissait bien, puisque c'était son trajet entre son travail et son domicile. Il semble qu'il n'ait pas freiné. Toutes les hypothèses sont envisagées par les enquêteurs mais le taux d'alcoolémie de 2,93 g d'alcool par litre de sang, révélé hier après analyse, montre que ses réflexes de conducteur étaient altérés.
(1) Pour l'Insee, la commune de Chalais s'écrit Chaleix, mais la mairie revendique la graphie Chalais comme celle de Saint-Jory-de-Chalais.
SUDOUEST