Les plages de La Ciotat fermées à cause d'une pollution aux hydrocarbures
Toutes les plages de La Ciotat dans les Bouches-du-Rhône, qui s'étirent sur 17 km de côtes, ont été fermées hier soir à cause d'une pollution marine aux hydrocarbures provoquée par un dégazage.
"Les plages sont fermées. Toutes les équipes de la ville travaillent pour essayer de lever l'interdiction d'accès ce vendredi soir ou demain matin au plus tard", a affirmé Noël Collura, adjoint au maire délégué à l'environnement. "Le problème qui va persister, ce sont les boulettes qui sont dans l'eau. Malheureusement, les gens vont avoir les pieds noirs pendant quelque temps", a-t-il ajouté, précisant que l'Ile verte, située au large de la ville, avait également été touchée.
Les plages sont "en train d'être nettoyées par les engins et le conseil général envoie cet après-midi des équipes pour nettoyer les quelques boulettes à l'Ile verte et je pense que demain samedi, tout sera rentré dans l'ordre", a-t-il dit. "On va naturellement déposer plainte quand on saura l'origine exacte", a dit M. Collura.
Selon la préfecture maritime, qui a envoyé jeudi soir un hélicoptère des douanes pour faire une surveillance maritime sans trouver de pollution en mer, "l'hypothèse est que c'est une pollution ancienne orpheline qui est au fond et qui remonte" sous forme de "boulettes d'hydrocarbures". Elle ne peut être le fait d'un petit bateau ou d'un rejet licite et son origine est, du fait de son caractère ancien, "impossible à déterminer".
Toutes les plages de La Ciotat dans les Bouches-du-Rhône, qui s'étirent sur 17 km de côtes, ont été fermées hier soir à cause d'une pollution marine aux hydrocarbures provoquée par un dégazage.
"Les plages sont fermées. Toutes les équipes de la ville travaillent pour essayer de lever l'interdiction d'accès ce vendredi soir ou demain matin au plus tard", a affirmé Noël Collura, adjoint au maire délégué à l'environnement. "Le problème qui va persister, ce sont les boulettes qui sont dans l'eau. Malheureusement, les gens vont avoir les pieds noirs pendant quelque temps", a-t-il ajouté, précisant que l'Ile verte, située au large de la ville, avait également été touchée.
Les plages sont "en train d'être nettoyées par les engins et le conseil général envoie cet après-midi des équipes pour nettoyer les quelques boulettes à l'Ile verte et je pense que demain samedi, tout sera rentré dans l'ordre", a-t-il dit. "On va naturellement déposer plainte quand on saura l'origine exacte", a dit M. Collura.
Selon la préfecture maritime, qui a envoyé jeudi soir un hélicoptère des douanes pour faire une surveillance maritime sans trouver de pollution en mer, "l'hypothèse est que c'est une pollution ancienne orpheline qui est au fond et qui remonte" sous forme de "boulettes d'hydrocarbures". Elle ne peut être le fait d'un petit bateau ou d'un rejet licite et son origine est, du fait de son caractère ancien, "impossible à déterminer".